Interview de Anouchka Delon
Dans le cadre du FIFCL
- 9 décembre 2017 -
Dans le cadre du FIFCL
- 9 décembre 2017 -
Anouchka Delon (27 ans) a obtenu son premier rôle en 2003 face à son père dans le téléfilm « Le lion ». Depuis, elle évolue surtout dans le milieu théâtral mais espère bien décrocher des rôles dans des comédies au cinéma. Elle faisait partie du jury courts métrages du Festival International du Film de Comédie à Liège où nous l’avons rencontrée.
Thomas : Comment se passe votre séjour à Liège ?
Anouchka Delon : Super bien. Je connais très bien Liège et j’étais contente de revenir, en plus dans le cadre du festival. Ca se passe très bien, il y a vraiment une bonne ambiance, les gens sont hyper accueillants et ouverts. L’équipe du festival est super, on est au top, vraiment.
Thomas : C’est la première fois que vous faites partie d’un jury ?
Anouchka Delon : Non, c’est la deuxième fois. Ma toute première fois c’était au mois de juin, au festival de théâtre d’Anjou. J’étais déjà avec Pauline Lefèvre à ce moment-là donc on est super contentes de se retrouver ici aussi.
Thomas : La comédie est un genre que vous affectionnez particulièrement.
Anouchka Delon : C’est un genre que j’aime beaucoup, même quand j’étais au Cours Simon, ce sont des choses qu’on me donnait à jouer donc je me sens très libre dans la comédie.
Thomas : Quelles sont vos influences en la matière ?
Thomas : Comment se passe votre séjour à Liège ?
Anouchka Delon : Super bien. Je connais très bien Liège et j’étais contente de revenir, en plus dans le cadre du festival. Ca se passe très bien, il y a vraiment une bonne ambiance, les gens sont hyper accueillants et ouverts. L’équipe du festival est super, on est au top, vraiment.
Thomas : C’est la première fois que vous faites partie d’un jury ?
Anouchka Delon : Non, c’est la deuxième fois. Ma toute première fois c’était au mois de juin, au festival de théâtre d’Anjou. J’étais déjà avec Pauline Lefèvre à ce moment-là donc on est super contentes de se retrouver ici aussi.
Thomas : La comédie est un genre que vous affectionnez particulièrement.
Anouchka Delon : C’est un genre que j’aime beaucoup, même quand j’étais au Cours Simon, ce sont des choses qu’on me donnait à jouer donc je me sens très libre dans la comédie.
Thomas : Quelles sont vos influences en la matière ?
Anouchka Delon : Il y a plein d’artistes, beaucoup de Belges. Je suis une très grande fan de François Damiens et de Benoît Poelvoorde, de Jean-Luc Couchard aussi. « Dikkenek » est un film qui m’a vraiment marqué, c’est culte. J’adore ce genre d’humour complètement décalé. J’ai aussi été marquée quand j’étais jeune par « Les bronzés » et « Le père Noël est une ordure ». Les acteurs vont super loin dans leur jeu et je me dis que ça doit être jouissif à jouer. Ce qui m’a aussi marqué longtemps, ce sont les « Monty Python».
Thomas : Votre actualité est plus théâtrale mais avez-vous des projets de cinéma ? Anouchka Delon : Oui, alors par contre ce n’est pas dans la comédie. Une amie réalise son premier long métrage au mois de mars, elle va adapter un roman de Maupassant donc ce n’est pas drôle du tout ! Je suis super contente de faire partie d’un film d’époque, en costumes. |
Thomas : Quel type de personnage allez-vous y jouer ?
Anouchka Delon : Ce sera un personnage très à l’opposé de ce que je suis. Elle aime beaucoup faire jouer le contre-pied de ce que sont les acteurs, ça m’excite et ça me stresse à la fois.
Thomas : Il faut donc qu’elle connaisse bien ses acteurs.
Anouchka Delon : Oui, elle me connaît bien et elle sait que je ne suis pas comme ça et qu’elle peut m’emmener là-dedans. Ce sera quelque chose d’un peu sombre.
Thomas : Vous avez d’autres projets de théâtre ?
Anouchka Delon : Oui. On a terminé une tournée depuis avril. Je refais quelque chose avec mon compagnon (Julien Dereims) avec qui j’avais fait la pièce précédente. On est en train d’adapter notre première pièce de théâtre. On adapte une comédie américaine au théâtre.
Thomas : C’est vous qui réalisez l’adaptation ?
Anouchka Delon : Oui, traduction et adaptation.
Thomas : Vous pouvez déjà en parler ?
Anouchka Delon : Je ne vais pas vous donner le titre pour l’instant car on est un peu superstitieux mais c’est une vraie comédie générationnelle, on est super contents de pouvoir l’adapter et du coup je travaille aussi dessus ici quand je suis à l’hôtel. On a vraiment envie que ça avance.
Thomas : Vous avez déjà une date prévue ?
Anouchka Delon : On aimerait la jouer en septembre.
Anouchka Delon : Ce sera un personnage très à l’opposé de ce que je suis. Elle aime beaucoup faire jouer le contre-pied de ce que sont les acteurs, ça m’excite et ça me stresse à la fois.
Thomas : Il faut donc qu’elle connaisse bien ses acteurs.
Anouchka Delon : Oui, elle me connaît bien et elle sait que je ne suis pas comme ça et qu’elle peut m’emmener là-dedans. Ce sera quelque chose d’un peu sombre.
Thomas : Vous avez d’autres projets de théâtre ?
Anouchka Delon : Oui. On a terminé une tournée depuis avril. Je refais quelque chose avec mon compagnon (Julien Dereims) avec qui j’avais fait la pièce précédente. On est en train d’adapter notre première pièce de théâtre. On adapte une comédie américaine au théâtre.
Thomas : C’est vous qui réalisez l’adaptation ?
Anouchka Delon : Oui, traduction et adaptation.
Thomas : Vous pouvez déjà en parler ?
Anouchka Delon : Je ne vais pas vous donner le titre pour l’instant car on est un peu superstitieux mais c’est une vraie comédie générationnelle, on est super contents de pouvoir l’adapter et du coup je travaille aussi dessus ici quand je suis à l’hôtel. On a vraiment envie que ça avance.
Thomas : Vous avez déjà une date prévue ?
Anouchka Delon : On aimerait la jouer en septembre.
Thomas : Vous avez tourné votre premier film « Le lion », à l’âge de 13 ans, aux côtés de votre père. Quels souvenirs gardez-vous de ce tournage ?
Anouchka Delon : Ce sont des souvenirs de rêve. J’ai l’impression d’avoir rêvé cette période. J’étais jeune donc pour moi c’était tout nouveau. C’était en Afrique, pendant mes vacances d’été parce que j’avais école. Thomas : C’est la première fois que vous vous retrouviez devant une caméra. Anouchka Delon : Oui, je ne m’en rendais pas vraiment compte en fait. On me disait juste d’interpréter un personnage en essayant d’être moi-même. C’était stressant et en même temps c’était super parce que tout le monde était tellement gentil et bienveillant, c’était plus un jeu. J’ai l’impression que c’était dans une autre vie. Thomas : Vous vous retrouvez donc devant votre père acteur. Quelles étaient les consignes ? |
Anouchka Delon : Mon père, il ne me dit jamais rien en fait. Quand on travaille ensemble, il laisse toujours le metteur en scène me diriger. C’est ça qui est agréable et du coup, on est vraiment deux acteurs.
Thomas : Vous le retrouvez ensuite au théâtre dans « Une journée ordinaire ». C’est vous qui avez amené le sujet ?
Anouchka Delon : Non, c’est lui qui a commandé la pièce à Eric Assous. Moi je n’en savais rien, il me l’a fait lire quand elle a été terminée et ça m’a plu tout de suite.
Thomas : Vous l’avez jouée également avec votre compagnon.
Anouchka Delon : En tournée. A Paris, c’était quelqu’un d’autre mais cette personne ne pouvait pas se libérer donc il l’a remplacé en tournée.
Thomas : Pas de difficultés à se retrouver « en famille » sur les routes ?
Anouchka Delon : Non, c’est sympa et pratique vu qu’on n’est pas à la maison. C’est bien de se retrouver tous ensemble, c’est beaucoup plus proche et convivial.
Thomas : Avez-vous un projet commun à l’agenda ?
Anouchka Delon : Non, pas pour l’instant.
Thomas : Vous le retrouvez ensuite au théâtre dans « Une journée ordinaire ». C’est vous qui avez amené le sujet ?
Anouchka Delon : Non, c’est lui qui a commandé la pièce à Eric Assous. Moi je n’en savais rien, il me l’a fait lire quand elle a été terminée et ça m’a plu tout de suite.
Thomas : Vous l’avez jouée également avec votre compagnon.
Anouchka Delon : En tournée. A Paris, c’était quelqu’un d’autre mais cette personne ne pouvait pas se libérer donc il l’a remplacé en tournée.
Thomas : Pas de difficultés à se retrouver « en famille » sur les routes ?
Anouchka Delon : Non, c’est sympa et pratique vu qu’on n’est pas à la maison. C’est bien de se retrouver tous ensemble, c’est beaucoup plus proche et convivial.
Thomas : Avez-vous un projet commun à l’agenda ?
Anouchka Delon : Non, pas pour l’instant.