Festival Anima, une 40ème édition virtuelle
Du 12 au 21 février
Du 12 au 21 février
Cette année, Covid-19 oblige, le Festival Anima se réinvente pour offrir son programme de qualité à ses habituels (et petits nouveaux) festivaliers. En effet, ce n'est pas sur le mythique site de Flagey que se donneront rendez-vous petits et grands amateurs de films d'animation mais bien dans leur salon.
Grâce à sa nouvelle plateforme Anima Online, une grande partie de la programmation initialement prévue pour être projetée en salle sera disponible pour un prix très démocratique, à savoir 18€ (15€ si vous achetez votre pass en prévente avec le code ANIMA2021)
Grâce à sa nouvelle plateforme Anima Online, une grande partie de la programmation initialement prévue pour être projetée en salle sera disponible pour un prix très démocratique, à savoir 18€ (15€ si vous achetez votre pass en prévente avec le code ANIMA2021)
Depuis leur ordinateur ou leur téléphone portable, les festivaliers auront la possibilité d’accéder à toute la programmation du Festival. Une expérience unique et tout à fait inédite dans l’histoire du Festival, qui propose à ses différents publics à travers toute la Belgique d’accéder à sa foisonnante programmation depuis la maison, grâce à une plateforme facile d’utilisation, où différents onglets classent la programmation par catégories et formules tarifaires très attractives. Avec un catalogue de plus de 250 contenus vidéo, dont 12 longs métrages, 216 courts métrages, 15 rencontres virtuelles et plus de 40 bonus à découvrir, Anima Online veut rassembler tous les publics et espère étendre son audience à de nombreux foyers en rendant disponible sa programmation dans toute la Belgique pendant 10 jours placés sous le signe de l'animation. |
En plus des traditionnels Best of Shorts et C’est du belge, Anima proposera pour sa quarantième édition un programme spécial 40 Years of Anima, le retour du programme Saint-Valentin, et la fameuse Nuit animée alors que les focus de cette année sont consacrés aux cinématographies des pays des Balkans et de la Corée du Sud.
En attendant de vous livrer plus de détails sur la programmation complète et les temps forts du festival, rendez-vous sur: https://online.animafestival.be/
En attendant de vous livrer plus de détails sur la programmation complète et les temps forts du festival, rendez-vous sur: https://online.animafestival.be/
► Juste une mise au point « be »
Alors que le Festival anima version online touche peu à peu à sa fin, l’heure est au bilan. Côté chiffres, le festival dédié à l’animation peut se targuer d’avoir rassemblé plus de 5.500 utilisateurs et proposé une programmation de choix qui a suscité plus de 90 000 streams sur une semaine complète. Mais ce n’est pas encore terminé puisque quelques jolies surprises (dont la sortie temporaire de « On-Gaku : our sound », « Le tigre blanc pour le thé » et « Josep ») vous attendent ce week-end et jusqu’à ce dimanche minuit !
► Notre focus sur cette édition 2021
Les temps ont beau avoir légèrement troublé le Festival Anima, son équipe a su mener son bateau à bon port et nous faire voyager dans le monde du cinéma animé de façon riche et variée. Comme chaque année, les propositions faites nous ont permis de découvrir les facettes internationales d’un genre qui ne cesse de se renouveler et de se développer. Ainsi, si l’on a pris beaucoup de plaisir à arpenter de temps à autre les couloirs de sa programmation « longs métrages », l’heure est au petit bilan des films vus (et appréciés) par Ecran et toile.
Alors que le Festival anima version online touche peu à peu à sa fin, l’heure est au bilan. Côté chiffres, le festival dédié à l’animation peut se targuer d’avoir rassemblé plus de 5.500 utilisateurs et proposé une programmation de choix qui a suscité plus de 90 000 streams sur une semaine complète. Mais ce n’est pas encore terminé puisque quelques jolies surprises (dont la sortie temporaire de « On-Gaku : our sound », « Le tigre blanc pour le thé » et « Josep ») vous attendent ce week-end et jusqu’à ce dimanche minuit !
► Notre focus sur cette édition 2021
Les temps ont beau avoir légèrement troublé le Festival Anima, son équipe a su mener son bateau à bon port et nous faire voyager dans le monde du cinéma animé de façon riche et variée. Comme chaque année, les propositions faites nous ont permis de découvrir les facettes internationales d’un genre qui ne cesse de se renouveler et de se développer. Ainsi, si l’on a pris beaucoup de plaisir à arpenter de temps à autre les couloirs de sa programmation « longs métrages », l’heure est au petit bilan des films vus (et appréciés) par Ecran et toile.
Après nous être plongés dans le sombre et étrange film polonais « Kill it and leave this town », c’est un gros coup de cœur qui a donné l’impulsion aux séances projetées sur notre toile blanche domestique. En effet, « Up we soar » de Yan Ma a non seulement su toucher notre cœur par le témoignage poignant de ses deux héroïnes (mère et fille) mais donner un coup de projecteur sur un pan de l’histoire contemporaine chinoise dont on ignorait tout : les persécutions du Falun Gong.
Lancée en 1999 par le Parti Communiste Chinois, cette campagne de propagande et son programme de reconversion idéologique a contraint des milliers de Chinois a abandonné la pratique du Falun Gong, un mouvement spirituel créé par Li Hongzhi. |
Emprisonnements, condamnations, traques et tortures ont eu lieu près de dix ans aux quatre coins de la Chine, séparant des familles entières, brisant des hommes et des femmes mais aussi des enfants séparés de leur père et de leur mère. C’est précisément cela que nous conte « Up we soar », à travers des souvenirs animés et des témoignages live face caméra, des estampes montrant les tortures pratiquées et des scènes animées nous plongeant dans ce passé pas si lointain. L’Histoire chinoise et l’histoire personnelle de Fuyao s’entremêlent ainsi dans une petite heure qui nous laisse sans voix, ouvre nos yeux sur une réalité qui ne nous serait peut-être jamais parvenue si nous ne nous étions pas plongés dans ce très réussi film animé. Présenté hors compétition, « Up we soar » est, avec « Topp 3 », l’un de nos coups de cœur de cette année.
« Topp 3 », film suédois de 48 minutes, nous raconte lui l’histoire d’amour de David et Anton, un couple attachant qui a fait un petit bout de chemin ensemble envers et contre tout/tous.
« Topp 3 », film suédois de 48 minutes, nous raconte lui l’histoire d’amour de David et Anton, un couple attachant qui a fait un petit bout de chemin ensemble envers et contre tout/tous.
L’originalité du film, qui nous balade dans sa temporalité, est de nous présenter régulièrement les « top 3 » de Anton, notre héros, des tops qui classent aussi bien les personnalités qu’il déteste le plus mais aussi celui des pensées ressenties à la vue de David, celui des excuses pour ne pas sortir et s’amuser le vendredi soir, des choses à faire l’été avec son amoureux ou des choses à considérer en voyage ou lors d’une dernière nuit passée à deux.
Tendre et émouvant, « Topp 3 » est probablement le film dont on attend le moins mais qui nous a le plus cueilli, celui qui nous à parler directement au cœur et emmener le plus facilement et sincèrement dans la vie de gens attendrissants. Sa musique et sa jolie histoire d’amour, son format savamment choisi et sa dynamique font de cette petite histoire personnelle un régal émotionnel que l’on conseille ! |
Après ces petits longs-métrages, place à un classique du genre : « Akira », le film de 1988 remastérisé pour une séance spéciale. Publié en animé au Japon entre 1982 et 1992, Akira a été rendu possible grâce au talent de Katsuhiro Otomo. Mais c’est véritablement en 1988 que le film animation du même nom a acquis une réputation mondiale.
Proposé par le festival Anima dans sa version remasterisée en 4k, Akira vieillit plutôt bien grâce à son univers post-apocalyptique très bien dessiné ! Elevé au rang de manga culte, Akira traverse le temps dans son nouvel écrin.
Proposé par le festival Anima dans sa version remasterisée en 4k, Akira vieillit plutôt bien grâce à son univers post-apocalyptique très bien dessiné ! Elevé au rang de manga culte, Akira traverse le temps dans son nouvel écrin.
L’histoire se déroule en 2019 dans « Néo-Tokyo », une ville bâtie sur les ruines de l’ancienne Tokyo. Celle-ci a complètement été détruite en 1982, ce qui a enclenché la troisième guerre mondiale. Dans ce monde encore ravagé par des conflits permanents, des gangs s’affrontent sur fond de courses de motos endiablées.
L’un de ces gangs compte le jeune Tetsuo dont la vie va être bouleversée lorsque des pouvoirs qui sommeillaient en lui se révèlent. Traqué par l’armée et rongé par ses états psychique et physique, Tetsuo devra fuir une puissance qu’il ne parvient pas à maitriser et qui finit par le consumer. Certains seront conquis par ce monde futuriste aux accents cyberpunk car l’histoire, bien qu’abstraite, montre un monde brisé dont les inégalités touchent des classes sociales profondément divisées. Riches et pauvres ne sont pas censées se rencontrer et la violence règne en maitre. D’autres apprécieront certainement la première partie de l’œuvre avant d’être largués par une intrigue beaucoup trop floue qui laissera beaucoup de spectateurs sur le bas côté. |
Aujourd’hui encore, « Akira » garde sa force visuelle évocatrice mais peine à garder l’attention du spectateur tant son rythme est lent (dans sa deuxième partie) et son histoire obscure… Vous l’aurez compris, si « Akira » est une œuvre à voir, c’est pour ce qu’il représente dans la culture populaire au risque d’en déconcerter certains.
Dans les autres découvertes du festival, celle de « Motel Rose », le film coréen de Eun-a Yeo, un des métrages repris dans le focus « Corée » proposé cette année. Evoquant l’histoire de Mina, une collégienne pauvre et embauchée comme femme de ménage dans un hotel de passe, « Motel Rose » montre les dérives de la prostitution, la concurrence et l’appartenance à un système dont il est difficile de se détacher. Sombre et violent par moments, « Motel Rose » donne matière à réfléchir sur le monde des apparences, le besoin de devenir quelqu’un, quelques soient les voies empruntées et les rêves qui peuvent anéantir une vie idéalisée.
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Dur mais particulièrement bien amené, le film de Eun-a Yeo est aussi un film sur l’amitié, la compétition et le besoin d’identification, un métrage qui ne parle pas que de prostitution mais qui utilise ce thème pour évoquer une multitude de valeurs et marquera durablement ses spectateurs.
► Le palmarès
Si « Empty places » remporte le Grand Prix du Court Métrage Anima 2021 pour son sujet actuel et la profondeur de son œuvre, « Les yeux grands ouverts », « Elo », A la mer poussière », « Le tigre blanc pour le thé » et « Précieux » ont eux-aussi été plébiscités et récompensés. Côté longs métrages, c’est « On-Gaku : our sound » et « www.ecran-et-toile.com/les-films-de-2020/josepJosep » qui se sont , entre autres, démarqués. |
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Anima 2019
Du 1 au 10 mars 2019
Du 1 au 10 mars 2019
Anima, le Festival International du Film d’Animation de Bruxelles, s’apprête à vivre sa 38ème édition du 1er au 10 mars prochains. Pendant ces 10 jours de fête animée, plus de 45.000 spectateurs devraient passer dans les couloirs de Flagey mais aussi, à Cinematek - pour un hommage à Isao Takahata - au Cinéma Galeries – pour une exposition Paul Bush – et au Palace - pour les longs métrages césarisés dans le cadre du focus France -, en plus des salles qui accueillent les décentralisations en Flandre (à Gand, à Anvers, à Louvain et à Genk) et en Wallonie (à Mons, Charleroi, Namur, Liège et Nismes).
A Flagey, le festival proposera, entre autres, toutes ses avant-premières avec la compétition internationale de longs métrages, les compétitions nationale et internationale de courts métrages et de films de fin d’étude, des ateliers gratuits d’initiation au cinéma d’animation pour les enfants, un stage d’une semaine pour les ados, des rencontres avec les réalisateurs, une exposition, des concerts, une Nuit Animée ,.... Bref, dix jours entièrement consacrés au cinéma d’animation avec un total de 385 films projetés, répartis sur plus de 100 séances !
Cette année, Anima zoome sur un voisin, qui, s'il est toujours omniprésent au festival vu son volume de production, n'avait pas encore eu l'honneur de notre traditionnel focus: ce fameux pays d'irrésistibles Gaulois face à l'envahisseur cinématographique d'outre-mer : la France ! Et comme Anima tient toujours à l'oeil ce qui se fait de nouveau, il accueillera pour la deuxième fois un festival de films en VR, en compétition cette fois. Futuranima, le volet pro du festival, proposera des rencontres, des masterclass et de conférences avec ceux qui mettent les mains dans le cambouis de l'animation. Une soixantaine d'invités du monde entier sillonneront les couloirs et salles de Flagey et seront ravis de tailler une bavette avec leurs fans.
Des avant-premières et une programmation du tonnerre
A Flagey, le festival proposera, entre autres, toutes ses avant-premières avec la compétition internationale de longs métrages, les compétitions nationale et internationale de courts métrages et de films de fin d’étude, des ateliers gratuits d’initiation au cinéma d’animation pour les enfants, un stage d’une semaine pour les ados, des rencontres avec les réalisateurs, une exposition, des concerts, une Nuit Animée ,.... Bref, dix jours entièrement consacrés au cinéma d’animation avec un total de 385 films projetés, répartis sur plus de 100 séances !
Cette année, Anima zoome sur un voisin, qui, s'il est toujours omniprésent au festival vu son volume de production, n'avait pas encore eu l'honneur de notre traditionnel focus: ce fameux pays d'irrésistibles Gaulois face à l'envahisseur cinématographique d'outre-mer : la France ! Et comme Anima tient toujours à l'oeil ce qui se fait de nouveau, il accueillera pour la deuxième fois un festival de films en VR, en compétition cette fois. Futuranima, le volet pro du festival, proposera des rencontres, des masterclass et de conférences avec ceux qui mettent les mains dans le cambouis de l'animation. Une soixantaine d'invités du monde entier sillonneront les couloirs et salles de Flagey et seront ravis de tailler une bavette avec leurs fans.
Des avant-premières et une programmation du tonnerre
Film d'ouverture: Another Day of Life
Présenté en sélection officielle du Festival de Cannes et produit en partie par le studio bruxellois Walking the Dog, "Another Day of Life" est basé sur le livre éponyme de Ryszard Kapuscinski. Ce film hybride mêlant images d'archives, interviews et animation, nous plonge au coeur des enjeux de la guerre froide en offrant une immersion totale aux côtés des reporters de guerre qui couvrent le conflit armé en Angola en plein chaos au début de la guerre civile. La narration s'immisce dans les réflexions du journaliste polonais, écartelé entre devoir professionnel et engagement personnel. Une clôture en noir, jaune et rouge Après un cinéspectacle de 1914 et la proclamation des lauréats des différentes compétition, place à « La Foire agricole », le dernier né du duo Patar et Aubier, tout juste sorti du labo ! Après leurs folles aventures dans "La Bûche de Noël" et "La Rentrée des classes", Cowboy et Indien veulent aller s’éclater à la Foire agricole. Suite à un accident de skateboard qui l’a rendu amnésique, Cheval ne se souvient plus du tout où il a caché les tickets d’entrée. Pour les retrouver, Cowboy et Indien vont construire une machine à remonter le temps. Et là les ennuis commencent… |
Mais ce n'est pas tout! Dans les avant-premières, on notons que le Festival International du Film d’Animation de Bruxelles sera une nouvelle fois l’occasion de découvrir, avant tout le monde, les longs métrages d’animation les plus attendus de la saison. Il y en aura pour tout le monde et tous les goûts… de "MIRAI, MA PETITE SOEUR", en passant par "ROYAL CORGI" des studios belges nWave, et des propositions plus adultes qui abordent des sujets graves comme des conflits au Cambodge et en Angola avec une grande sensibilité graphique comme "FUNAN", tout le monde trouvera son bonheur.
"Irrésistibles gaulois": le focus France d'Anima
Cette année, le Festival International du Film d’Animation de Bruxelles a choisi de braquer les projecteurs sur un voisin qui n’avait pas encore eu l’honneur du traditionnel focus du festival : la France ! Le cinéma d'animation français a connu un incroyable développement ces vingt dernières années, avec une production annuelle moyenne passant de trois à dix longs métrages.
"Irrésistibles gaulois": le focus France d'Anima
Cette année, le Festival International du Film d’Animation de Bruxelles a choisi de braquer les projecteurs sur un voisin qui n’avait pas encore eu l’honneur du traditionnel focus du festival : la France ! Le cinéma d'animation français a connu un incroyable développement ces vingt dernières années, avec une production annuelle moyenne passant de trois à dix longs métrages.
Le secteur combine la production de films à haute valeur technologique et économique et des démarches plus artistiques permettant l'éclosion d'une variété incroyable de talents. Anima rend hommage à ce dynamisme avec une sélection de films qui ont marqué les temps forts de cette ascension. Le Chat du Rabbin, Ernest et Célestine, L’Illusionniste, Minuscule, la vallée des fourmis perdues, Le Petit Prince, Ma vie de Courgette mais aussi des projections de courts métrages césarisés ou oscarisés, des coups de coeur du festival et des pépites de l'année 2018 constitueront 4 programmes intitulés Bleu, Blanc, Bouge! dont deux rétrospectives, une sélection de l’année écoulée et un zoom sur l’un des studios les plus originaux de la scène française : Sacrebleu.
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A VR World of animation
Pour la première fois, le festival intègrera une compétition entièrement dédiée aux films d’animation en réalité virtuelle. Le grand public pourra, par petits groupes de 8, découvrir, ou plutôt « expérimenter », ces films inédits, dont certains en première européenne. Ces courts métrages, d’une durée qui varie de 2 à 20 minutes, permettent aux spectateurs de voyager dans des univers incroyables, en 360° : au coeur de peintures célèbres, dans des petits théâtres, en prison, ou au beau milieu de l’océan… Pour départager les huit films sélectionnés en compétition, ANIMA sollicitera le vote du public et d’un jury d’experts dans le domaine
L'animation made in Belgium
COCORICO ! L’ANIMATION BELGE EST EN GRANDE FORME A ANIMA! En effet, l’incroyable qualité de la production belge récente s’impose à tous les niveaux dans le programme d’Anima 2019 : des longs métrages tels que "Royal Corgi", "La Foire Agricole", "Ce Magnifique Gâteau!" ou encore "Raoul Servais, mémoire d’un artisan" et "Léopold, roi des belges" mais aussi des coproductions prestigieuses comme le film d’ouverture, "Another Day of Life", "Funan" ou "Le Capitaine Morten et la Reine des Araignées"… la Belgique est incontournable cette année. Alors qu’on se le dise - une fois - à ANIMA 2019, il sera de bon ton de se regarder le nombril avec fierté !
► Toutes les informations pratiques, la programmation, les expos, les événements et toutes les réponses à vos questions se trouvent ici: http://www.animafestival.be
Pour la première fois, le festival intègrera une compétition entièrement dédiée aux films d’animation en réalité virtuelle. Le grand public pourra, par petits groupes de 8, découvrir, ou plutôt « expérimenter », ces films inédits, dont certains en première européenne. Ces courts métrages, d’une durée qui varie de 2 à 20 minutes, permettent aux spectateurs de voyager dans des univers incroyables, en 360° : au coeur de peintures célèbres, dans des petits théâtres, en prison, ou au beau milieu de l’océan… Pour départager les huit films sélectionnés en compétition, ANIMA sollicitera le vote du public et d’un jury d’experts dans le domaine
L'animation made in Belgium
COCORICO ! L’ANIMATION BELGE EST EN GRANDE FORME A ANIMA! En effet, l’incroyable qualité de la production belge récente s’impose à tous les niveaux dans le programme d’Anima 2019 : des longs métrages tels que "Royal Corgi", "La Foire Agricole", "Ce Magnifique Gâteau!" ou encore "Raoul Servais, mémoire d’un artisan" et "Léopold, roi des belges" mais aussi des coproductions prestigieuses comme le film d’ouverture, "Another Day of Life", "Funan" ou "Le Capitaine Morten et la Reine des Araignées"… la Belgique est incontournable cette année. Alors qu’on se le dise - une fois - à ANIMA 2019, il sera de bon ton de se regarder le nombril avec fierté !
► Toutes les informations pratiques, la programmation, les expos, les événements et toutes les réponses à vos questions se trouvent ici: http://www.animafestival.be
Anima 2018
Du 9 au 18 février 2018
Comme chaque année à quelques semaines du printemps, les couleurs du Festival Anima réchauffent le coeur de la capitale belge. Faisant la part belle aux meilleurs films d'animation issus du monde entier, le Festival bruxellois propose chaque année des longs et courts métrages de grande qualité, des animations et des rencontres mais aussi des soirées à thème pour prolonger la convivialité qui nait entre les festivaliers.
Les organisateurs d'Anima se donnent chaque année la mission de faire découvrir au fidèle public du festival les meilleures productions venant des quatre coins du monde. Et pour cette 37ème édition, Anima a choisi de mettre en lumière une rétrospective des films d'animation estonien, illustrant l'abondante créativité d'un tout petit pays qui a développé un grand savoir-faire dans le domaine de l'animation.
Envie d'en savoir plus sur le programme de cette année? Suivez-le guide.
Les organisateurs d'Anima se donnent chaque année la mission de faire découvrir au fidèle public du festival les meilleures productions venant des quatre coins du monde. Et pour cette 37ème édition, Anima a choisi de mettre en lumière une rétrospective des films d'animation estonien, illustrant l'abondante créativité d'un tout petit pays qui a développé un grand savoir-faire dans le domaine de l'animation.
Envie d'en savoir plus sur le programme de cette année? Suivez-le guide.
1. La programmation d'Anima
Ce vendredi 9 février, ANIMA 2018 s’ouvrira sur un film nominé aux Oscars et présenté en avant-première exclusive, "The breadwinner" de Nora Twomey, une production des studios irlandais qui nous ont déjà offert les magnifiques "Song of the sea" et "Brendran and the secret of kell".
La jeune Parvana, 11 ans, vit avec sa famille sur les hauteurs de Kaboul, dévastée par la guerre et les talibans. Son père gagne sa vie en tant que scribe sur le marché de la ville. Pour illuminer un tant soit peu ces jours difficiles, il se plaît à raconter des histoires fantastiques à sa famille. Un jour, il se fait arrêter par les talibans ; la survie de la famille est menacée, car les femmes ne peuvent sortir seules pour acheter de la nourriture. Parvana n’a d’autre choix que de se faire passer pour un garçon. Elle devient le soutien de la famille et est bien décidée à sauver son père. "The Breadwinner" est à découvrir le vendredi 9 février 20h au Studio 4 de Flagey ou le dimanche 11 février à 19h30. |
Jusqu'au 18 février, la fête à l’animation se poursuivra autant sur les grands écrans - avec plus de 325 films dont bon nombre de films inédits, courts et longs. Le festival réserve quelques jolies découvertes dont une belle sélection de films japonais dans des genres assez divers : une adaptation d’un manga culte, "Blame!", qui nous emmène dans un monde futuriste à l’univers cyberpunk, une comédie qui suit les tribulations d’une lycéenne lors d'une folle nuit, "Night is short, walk on girl", la révélation du festival d’Annecy, "Lu, over the wall", une petite pépite qui n’a rien à envier aux productions du studio Ghibli et enfin un OVNI de science-fiction en stop motion, un film autoproduit, trash et fou : "Junk Head".
Le film de clôture est asitiatique lui aussi puisque "The shower" est une adaptation tout en finesse d’un chef-d’œuvre de la littérature coréenne, film projeté en présence de son réalisateur Jae-huun AHN.
L’Amérique du Nord sera représentée cette année par "Where it floods", un film indépendant qui dépeint une Amérique rurale et isolée et qui sonde les tréfonds de l’âme humaine.
Le film de clôture est asitiatique lui aussi puisque "The shower" est une adaptation tout en finesse d’un chef-d’œuvre de la littérature coréenne, film projeté en présence de son réalisateur Jae-huun AHN.
L’Amérique du Nord sera représentée cette année par "Where it floods", un film indépendant qui dépeint une Amérique rurale et isolée et qui sonde les tréfonds de l’âme humaine.
Parmi les films européens en avant-première, on peut épingler un film allemand en rotoscopie, "Tehran Taboo", un premier film du réalisateur Ali Soozandeh qui dénonce l’hypocrisie d’une société iranienne où coexistent prostitution, drogue, corruption et interdits religieux, le nouveau long métrage de Michel Ocelot "Ivan Tsarevitvh et la princesse géante" ou encore "Un homme est mort" , une adaptation de la BD du même titre qui s’inspire d'un film aujourd'hui disparu de René Vautier sur la mort de l'ouvrier Édouard Mazé, lors des manifestations et des grèves de Brest.
Le festival accueillera également une avant-première belge, celle de la production flamande "Zooks", un film en rotoscopie avec notamment Matteo Simoni ("Marina", "Patser") qui nous entraîne dans un monde où la nature est considérée comme la grande ennemie de l’homme. |
► Les enfants ont eux-aussi leur programmation
Comme chaque année, le cœur de Flagey se transformera le temps du congé de carnaval en un paradis pour les enfants avec des animations , des stands de maquillage et des films pour les plus jeunes spectateurs!
Les petits sont conviés chaque après-midi à faire le tour du monde en images avec des films venus d’Asie, d’Amérique du Nord et des quatre coins de notre vieux continent. Ils pourront ainsi découvrir le magnifique film japonais, "Lu over the wall" "Big fish et Begonia". ou encore "Ferdinand" de Carlos Saldanha.
Les plus petits pourront choisir parmi une offre riche et qualitative de productions européennes avec notamment "Ernest et Célestine en hiver", "Drôles de petites bêtes", "Bande de zozos" ou "Nous allons à la chasse à l'ours". Bref, pendant près de 10 jours, les après-midi seront animées à Anima. Il y en aura pour tous les âges et tous les goûts .
Comme chaque année, le cœur de Flagey se transformera le temps du congé de carnaval en un paradis pour les enfants avec des animations , des stands de maquillage et des films pour les plus jeunes spectateurs!
Les petits sont conviés chaque après-midi à faire le tour du monde en images avec des films venus d’Asie, d’Amérique du Nord et des quatre coins de notre vieux continent. Ils pourront ainsi découvrir le magnifique film japonais, "Lu over the wall" "Big fish et Begonia". ou encore "Ferdinand" de Carlos Saldanha.
Les plus petits pourront choisir parmi une offre riche et qualitative de productions européennes avec notamment "Ernest et Célestine en hiver", "Drôles de petites bêtes", "Bande de zozos" ou "Nous allons à la chasse à l'ours". Bref, pendant près de 10 jours, les après-midi seront animées à Anima. Il y en aura pour tous les âges et tous les goûts .
2. Les focus
► Plein feu sur l'Estonie
Dans le cadre du centenaire de l’indépendance de l’Estonie, Anima accueille une grande rétrospective de films d’animation estoniens. On pourra notamment découvrir les films de l'Académie des Arts d'Estonie mais aussi les oeuvres de Priit Pärn, réalisés seul ou en duo avec son épouse Olga Pärn. Ce dernier démarrant à l’époque soviétique, est devenu la star de l’animation estonienne avec ses films décalés et surréalisants susceptibles de déclencher des tempêtes sous les crânes bureaucratiques. Pour le reste, ce sont le bleu, le noir et blanc, les trois couleurs du drapeau estonien, trois symboles liés à l’infinité de la mer et du ciel, à la noirceur de la terre et à la blancheur de la neige, qui chapeautent les thématiques de compilations de films estoniens, concoctés par Priit Tender, directeur artistique de l’Animated Dreams Festival. Enfin, les petits ne seront pas en reste avec le programme "Miriam et ses potes Estoniens" . Une exposition consacrée au studio Nukufilm, célèbre pour sa maîtrise de la stop motion, complète le panorama
Dans le cadre du centenaire de l’indépendance de l’Estonie, Anima accueille une grande rétrospective de films d’animation estoniens. On pourra notamment découvrir les films de l'Académie des Arts d'Estonie mais aussi les oeuvres de Priit Pärn, réalisés seul ou en duo avec son épouse Olga Pärn. Ce dernier démarrant à l’époque soviétique, est devenu la star de l’animation estonienne avec ses films décalés et surréalisants susceptibles de déclencher des tempêtes sous les crânes bureaucratiques. Pour le reste, ce sont le bleu, le noir et blanc, les trois couleurs du drapeau estonien, trois symboles liés à l’infinité de la mer et du ciel, à la noirceur de la terre et à la blancheur de la neige, qui chapeautent les thématiques de compilations de films estoniens, concoctés par Priit Tender, directeur artistique de l’Animated Dreams Festival. Enfin, les petits ne seront pas en reste avec le programme "Miriam et ses potes Estoniens" . Une exposition consacrée au studio Nukufilm, célèbre pour sa maîtrise de la stop motion, complète le panorama
► « Des cowboys et des indiens, le cinéma de Patar et Aubier »
De "Cowboy" à "Célestine", le travail de Patar et Aubier démontre des qualités narratives et un constant renouveau dans les techniques d’animation. Parler d’eux, c’est parler d’un collectif soudé autour d’une idée commune de la création, loin des ego et du politiquement correct. Le film de Fabrice du Welz décrit une formidable histoire d’amitié longue de trente ans et est le témoin direct d’une époque incroyablement riche du cinéma belge. L'avant première du documentaire aura lieu le 15 février à 19h30 au Studio 4 de Flagey. Notre avis est quant à lui disponible ici: "Le cinéma de Patar et Aubier" |
3. Les invités du festival
Qui dit festival, dit invités. Durant les 10 jours de festival, on pourra croiser des artistes talentueux issus de l'animation belge mais aussi du monde entier. Parmi eux, Michel Ocelot qui viendra présenter son dernier film et animera une séance de « work in progress » dans le cadre de FUTURANIMA, Peter Lord qui accompagnera le dernier né des studios Aardman, "Cro Man" de Nick Park et partagera quelques secrets de fabrication lors d’un meeting publi, . Michael Dudok de Wit qui évoquera également la magie de sa « créativité intuitive » et qui lui a permis de nous offrir une merveille comme la "Tortue Rouge", Reza Riahi, le directeur artistique de "The Breadwinner", le réalisateur franco-belge Antoon Krings pour la première de "Drôles de petites bêtes" ou encore Marion Montaigne qui travaille actuellement sur son long métrage "Panique Organique".
Au total plus 60 invités internationaux viendront présenter leur film ou participeront aux journées professionnelles Futuranima qui se tiendront du 12 au 18 février à Flagey. C'est là pour le public une occasion unique de rencontrer les professionnels du secteur.
Au total plus 60 invités internationaux viendront présenter leur film ou participeront aux journées professionnelles Futuranima qui se tiendront du 12 au 18 février à Flagey. C'est là pour le public une occasion unique de rencontrer les professionnels du secteur.
► Aardman et Anima: la love story continue...
Aardman et ANIMA, c’est une histoire d’amour de longue date ! En effet, le Festival du Film d’Animation de Bruxelles suit la production de ce studio hors normes depuis ses débuts. C’est ainsi qu’on a pu y découvrir leurs tout premiers courts Conversation Pieces (1983) dont Early Bird, Babylon… Après, il y a notamment eu la projection de "Une grande excursion", qui a révélé au grand public l’extraordinaire talent du jeune Nick Park, ainsi que des autres moyens métrages mettant en scène les personnages Wallace et Gromit. Le festival a également présenté les publicités produites par le studio mais aussi les épisodes de la série Shaun le Mouton avant de présenter le long métrage en ouverture en 2015 !
Aardman et ANIMA, c’est une histoire d’amour de longue date ! En effet, le Festival du Film d’Animation de Bruxelles suit la production de ce studio hors normes depuis ses débuts. C’est ainsi qu’on a pu y découvrir leurs tout premiers courts Conversation Pieces (1983) dont Early Bird, Babylon… Après, il y a notamment eu la projection de "Une grande excursion", qui a révélé au grand public l’extraordinaire talent du jeune Nick Park, ainsi que des autres moyens métrages mettant en scène les personnages Wallace et Gromit. Le festival a également présenté les publicités produites par le studio mais aussi les épisodes de la série Shaun le Mouton avant de présenter le long métrage en ouverture en 2015 !
Cette année, Peter Lord, l’un des deux fondateurs des studios Aardman, viendra présenter le nouveau long métrage de son ami Nick Park: "Cro Man" (Early Man en V.O.) Peter Lord profitera de son escale à Bruxelles pour partager son expérience avec le public et les professionnels lors d’une conférence exceptionnelle. Peter Lord n’est pas uniquement le fondateur d’Aardman et le producteur de petits bijoux de l’animation qui mettent en scène, en format court ou long, les fameux "Morph", "Wallace et Gromit" ou encore "Shaun le Mouton". Le comparse de Nick Park a également co-réalisé "Chicken Run" et réalisé "The Pirates, Band of Misfits".
La rencontre, prévue le 13 février à 14h30 sera animée par Alexis Hunot (en anglais). |
Toutes les informations pratiques sur la programmation, les soirées, les événements et les lieux de rendez-vous sont sur: www.animafestival.be
Anima 2017
Festival Anima : bilan et palmarès
La 36e édition du Festival Anima a refermé ses portes sur une très belle réussite. En effet, le public a répondu présent pour découvrir une programmation hétéroclite issue des quatre coins du monde. En prime, les festivaliers ont pu assister à des rencontres menées par des invités internationaux venus du Japon, de la Corée du Sud, des Etats-Unis ou de nombreux pays européens.
En clôture de ces 10 jours de festival, la projection de « Ethel et Ernest » de Roger Mainwood ainsi que celle des films primés. |
Côté compétition nationale, c’est le film « Catherine » de Britt Raes qui remporte le prix du meilleur court métrage belge.
Voici le palmarès complet de l’édition 2017 du Festival Anima :
- Meilleur court métrage étudiant : « My father’s room » de Jang Nari
- Meilleur court métrage jeune public : « La cage » de Loïc Bruyère
- Prix des auteurs de la SACD : « Pour une poignée de girolles » de Julien Grande
- Grand Prix du meilleur court métrage de la Fédération Wallonie-Bruxelles : « La rentrée des classes » de Vincent Patar et Stéphane Aubier
- Le prix du public du meilleur long métrage jeune public : « L’école des lapins » de Utev von Münchow-Pohl
- Prix du public du meilleur court métrage : « Vaysha l’aveugle » de Theodore Ushev
- Prix de la Critique du meilleur court métrage : « Fragments » de José Miguel Ribeiro
Voici le palmarès complet de l’édition 2017 du Festival Anima :
- Meilleur court métrage étudiant : « My father’s room » de Jang Nari
- Meilleur court métrage jeune public : « La cage » de Loïc Bruyère
- Prix des auteurs de la SACD : « Pour une poignée de girolles » de Julien Grande
- Grand Prix du meilleur court métrage de la Fédération Wallonie-Bruxelles : « La rentrée des classes » de Vincent Patar et Stéphane Aubier
- Le prix du public du meilleur long métrage jeune public : « L’école des lapins » de Utev von Münchow-Pohl
- Prix du public du meilleur court métrage : « Vaysha l’aveugle » de Theodore Ushev
- Prix de la Critique du meilleur court métrage : « Fragments » de José Miguel Ribeiro
Anima ouvre ses portes avec "Louise en Hiver"
Le festival Anima, le festival international du film d’Animation de Bruxelles démarre ce vendredi 24 février à 19h à Flagey. Et pour commencer cette nouvelle édition, il propose, en avant-première, le film Louise en Hiver de Jean-François Laguionie.
Ce film hautement poétique relate les péripéties d'une mamie attachante qui loupe malencontreusement le dernier train qui dessert la station balnéaire de Biligen. Au lieu de s'affoler, Louise s'improvise un peu "Robinsonne", en un peu moins équipée. Dans les décors époustouflants qui rappellent les paysages du Nord, Louise erre et ressasse son passé: ses souvenirs d'enfance, ses premiers amours... Une invitation à célébrer le temps qui passe.
Jean-François Laguionie, qui a déjà réalisé entre autres, "Gwen le Livre de sable" ou encore "Le Tableau", sera présent lors de la projection.
Ce film hautement poétique relate les péripéties d'une mamie attachante qui loupe malencontreusement le dernier train qui dessert la station balnéaire de Biligen. Au lieu de s'affoler, Louise s'improvise un peu "Robinsonne", en un peu moins équipée. Dans les décors époustouflants qui rappellent les paysages du Nord, Louise erre et ressasse son passé: ses souvenirs d'enfance, ses premiers amours... Une invitation à célébrer le temps qui passe.
Jean-François Laguionie, qui a déjà réalisé entre autres, "Gwen le Livre de sable" ou encore "Le Tableau", sera présent lors de la projection.
Le festival Anima en quelques lignes.
Anima, le festival international du film d’animation de Bruxelles a déjà plus de 30 ans! Depuis des années, il s'atèle à faire découvrir des films issus du monde entier à travers une sélection variée et de qualité! En effet, plus de 279 films, courts comme longs, constituent la sélection. Et ce n'est pas tout, le festival propose aussi des conférences, des rencontres .
Cette année, c’est du 24 février au 5 mars que se déroulera Anima, à Flagey. Mais une partie de la programmation d’Anima sera également diffusée dans certaines salles de cinéma en Flandre (à Gand, à Anvers, à Louvain et à Genk) et en Wallonie (à Ath, Mons, Charleroi, Namur et Liège). En plus des avant-premières, certains films s'inscrivent dans une compétition nationale et internationale de courts et longs métrages, soumis au vote des jurys et du public. Le Portugal et l'Italie seront d'ailleurs mis à l'honneur à travers des projections et des conférences mais ils ne seront pas les seuls. Pour la première fois, le festival réserve une place de choix à la réalité virtuelle en accueillant la deuxième édition du festival Experience (Brussels virtual reality festival) et des conférences sur le sujet. Anima proposera aussi des installations faisant usage du mapping, de la motion capture et de la réalité augmentée.
Toutes les informations pratiques sont sur: www.animafestival.be
Cette année, c’est du 24 février au 5 mars que se déroulera Anima, à Flagey. Mais une partie de la programmation d’Anima sera également diffusée dans certaines salles de cinéma en Flandre (à Gand, à Anvers, à Louvain et à Genk) et en Wallonie (à Ath, Mons, Charleroi, Namur et Liège). En plus des avant-premières, certains films s'inscrivent dans une compétition nationale et internationale de courts et longs métrages, soumis au vote des jurys et du public. Le Portugal et l'Italie seront d'ailleurs mis à l'honneur à travers des projections et des conférences mais ils ne seront pas les seuls. Pour la première fois, le festival réserve une place de choix à la réalité virtuelle en accueillant la deuxième édition du festival Experience (Brussels virtual reality festival) et des conférences sur le sujet. Anima proposera aussi des installations faisant usage du mapping, de la motion capture et de la réalité augmentée.
Toutes les informations pratiques sont sur: www.animafestival.be