Better call saul
« Better Call Saul » est la nouvelle série évènement de Netflix. A l’heure où ce nouveau média fait beaucoup parler de lui, il est bon de se plonger sur le phénomène grâce à ce tout nouveau feuilleton qui a fait carton plein outre-Atlantique chez les 18-49 ans.
Autant vous le dire tout de suite, nous ne connaissions pas la série « Breaking Bad » dont il est le « prequel ». Et ce n’est finalement pas plus mal car vierges de toute impression, nous découvrons réellement le personnage de Saul Goodman (Jimmy Mc Gill étant son nom dans cette série) sans aucun a priori.
Le pilote en quelques lignes ? Avocat commis d’office, Jimmy Mc Gill se voit enchaîner des procès improbables où crapules et délinquants débutants sont accusés de crimes des plus étonnants. Avide de faire fonctionner son propre cabinet, maître Mc Gill cherche toutes les petites astuces pour gagner de précieux dollars. Oui mais, à force de vivre de petites magouilles on finit par trouver plus magouilleurs que soi. Sur sa route, Jimmy fera l’hasardeuse connaissance d’un gang hispanique un peu trop « collant », de petits arnaqueurs de rue ou une famille pleine aux as et malhonnête... la suite est à découvrir sur vos petites écrans.
Le comédien Bob Odenkrik (vu dernièrement dans le magnifique film « Nebraska ») incarne à merveille cet avocat véreux et foireux. C’est l’atout majeur de la série. Autour de lui gravite un casting secondaire du même acabit et on s’en réjouit. Parmi eux, Jonathan Banks (Horribles Bosses 2, Vegas) Michael Mondo, Mickael McKean et bien d’autres… Aux manettes de cette jeune série : Vince Gillian et Peter Gould, les deux réalisateurs de la série principale « Breaking Bad »… normal !
Netflix propose un épisode par semaine de cette série déjantée, 24 heures après sa diffusion sur la chaîne américaine AMC. Un régal pour qui aime les univers non-conformistes à la réalité. Le look discutable de Bob Odenkirk son humour revêche et ses entourloupes nous font passer un bon moment télé. Mais ce n’est pas non plus la série de l’année, bien qu’on se laisse volontiers embarquer dans son quotidien hors norme.
Autant vous le dire tout de suite, nous ne connaissions pas la série « Breaking Bad » dont il est le « prequel ». Et ce n’est finalement pas plus mal car vierges de toute impression, nous découvrons réellement le personnage de Saul Goodman (Jimmy Mc Gill étant son nom dans cette série) sans aucun a priori.
Le pilote en quelques lignes ? Avocat commis d’office, Jimmy Mc Gill se voit enchaîner des procès improbables où crapules et délinquants débutants sont accusés de crimes des plus étonnants. Avide de faire fonctionner son propre cabinet, maître Mc Gill cherche toutes les petites astuces pour gagner de précieux dollars. Oui mais, à force de vivre de petites magouilles on finit par trouver plus magouilleurs que soi. Sur sa route, Jimmy fera l’hasardeuse connaissance d’un gang hispanique un peu trop « collant », de petits arnaqueurs de rue ou une famille pleine aux as et malhonnête... la suite est à découvrir sur vos petites écrans.
Le comédien Bob Odenkrik (vu dernièrement dans le magnifique film « Nebraska ») incarne à merveille cet avocat véreux et foireux. C’est l’atout majeur de la série. Autour de lui gravite un casting secondaire du même acabit et on s’en réjouit. Parmi eux, Jonathan Banks (Horribles Bosses 2, Vegas) Michael Mondo, Mickael McKean et bien d’autres… Aux manettes de cette jeune série : Vince Gillian et Peter Gould, les deux réalisateurs de la série principale « Breaking Bad »… normal !
Netflix propose un épisode par semaine de cette série déjantée, 24 heures après sa diffusion sur la chaîne américaine AMC. Un régal pour qui aime les univers non-conformistes à la réalité. Le look discutable de Bob Odenkirk son humour revêche et ses entourloupes nous font passer un bon moment télé. Mais ce n’est pas non plus la série de l’année, bien qu’on se laisse volontiers embarquer dans son quotidien hors norme.