Le BIFFF
Brussels International Fantasy, Fantastic, Thriller and Science Fiction Film Festival
BIFFF 2022 : Happy Birthday !
Après quelques années en « off » pour cause de pandémie, restrictions sanitaires et autres joyeusetés du genre, le BIFFF a mis les petits plats dans les grands. Et pour cause, non content de retrouver son public et ses festivaliers excités à l’idée de commenter les films et faire chanter les différents invités, le Festival a fêté ses 40 ans et pas n’importe où ni n’importe comment ! Après le Passage 44 et Bozar, c’est au Palais 10 du Heysel que le BIFFF a pris ses quartiers durant 10 jours de festivités qui ont vu défiler sur les écrans des centaines de films inédits, en longs ou en cours mais aussi une belle brochette d’invités parmi lesquels Paul Feig, John McTiernan et Barry Sonnenfeld. Retour sur cette édition pas comme les autres grâce à Muriel (membre de l’équipe de notre podcast « Les curiosités cinéphiles » mais aussi rédactrice de « La cinéphile en voyage ») . |
Les films de la 40ème édition.
Au niveau des courts, 82 films ont été proposés dans 5 sections distinctes: la compétition belge, la compétition européenne, Eat My shorts, They're the future (qui compile des films d'étudiants.
Pour la sélection des longs-métrages, on retrouve les habituelles compétitions et catégories de films avec, petite nouveauté cette année, une programmation intitulée "The Belgian Wave" et composée de films belgo-belges, de coproductions largement financées ou au budget plus serré. Dans cette dernière, ce sont 15 films qui ont été proposés aux festivaliers parmi lesquels « L’employée du moi » de Véronique Jadin, « Ritual » de Hans Herbots, ou encore « Megalomaniac » de Karim Ouelhaj (qui a remporté le grand prix à Fantasia).
En ouverture de cette 40e édition c’est « Vesper », de Kristina Buožytė qui a été mis en lumière, film qui par ailleurs, a été récompensé par le précieux « Golden Raven », Grand Prix du jury de la compétition officielle. Pour la clôture, c’est « Fall » de Scott Mann qui a été projeté devant une salle remplie d’invités et de festivaliers…
De son côté, Muriel a vu, elle, quelques films de diverses compétitions/programmations :
Au niveau des courts, 82 films ont été proposés dans 5 sections distinctes: la compétition belge, la compétition européenne, Eat My shorts, They're the future (qui compile des films d'étudiants.
Pour la sélection des longs-métrages, on retrouve les habituelles compétitions et catégories de films avec, petite nouveauté cette année, une programmation intitulée "The Belgian Wave" et composée de films belgo-belges, de coproductions largement financées ou au budget plus serré. Dans cette dernière, ce sont 15 films qui ont été proposés aux festivaliers parmi lesquels « L’employée du moi » de Véronique Jadin, « Ritual » de Hans Herbots, ou encore « Megalomaniac » de Karim Ouelhaj (qui a remporté le grand prix à Fantasia).
En ouverture de cette 40e édition c’est « Vesper », de Kristina Buožytė qui a été mis en lumière, film qui par ailleurs, a été récompensé par le précieux « Golden Raven », Grand Prix du jury de la compétition officielle. Pour la clôture, c’est « Fall » de Scott Mann qui a été projeté devant une salle remplie d’invités et de festivaliers…
De son côté, Muriel a vu, elle, quelques films de diverses compétitions/programmations :
Pour découvrir ses avis complets, il suffit de cliquer sur l’image du film en question.
Les invités
Côté invités, le BIFFF n’a pas lésiné cette année. En plus de nombreuses équipes de films venus des quatre coins de la planète, les organisateurs ont débauché plusieurs grands noms du cinéma « de genre », des réalisateurs qui ont marqué le septième art de leur empreinte : Barry Sonnenfeld, John McTiernan et Paul Feig.
Côté invités, le BIFFF n’a pas lésiné cette année. En plus de nombreuses équipes de films venus des quatre coins de la planète, les organisateurs ont débauché plusieurs grands noms du cinéma « de genre », des réalisateurs qui ont marqué le septième art de leur empreinte : Barry Sonnenfeld, John McTiernan et Paul Feig.
Les Master Class de John McTiernan et de Barry Sonnenfeld
La première masterclass du Festival, celle de Barry Sonnenfeld avait lieu le jeudi 1er septembre à 20h30, une masterclass suivie le lendemain de la projection exceptionnelle de « Predator » un classique du genre !
Muriel nous raconte d’ailleurs cette incroyable soirée:
La première masterclass du Festival, celle de Barry Sonnenfeld avait lieu le jeudi 1er septembre à 20h30, une masterclass suivie le lendemain de la projection exceptionnelle de « Predator » un classique du genre !
Muriel nous raconte d’ailleurs cette incroyable soirée:
Prenons place dans la salle Ciné 1 du Festival International du Film Fantastique de Bruxelles pour écouter un maître du film d’action, John McTiernan, l’un des invités d’honneur de cette 40ème édition du festival.
Monté sur scène sous une pluie d’applaudissements, le réalisateur qui a fortement marqué le cinéma des années 80 et 90 a tout d’abord été fait Chevalier de l’Ordre du Corbeau, tradition du festival qui célèbre ainsi les plus grands cinéastes de passage à Bruxelles. Semblant fort ému de recevoir la statuette du sombre volatile à chapeau haut-de-forme, c’est rapidement que l’interview fut lancée en forme de conversation avec le journaliste Gorian Delpâture aux commandes (et dans un anglais un peu approximatif… Fabrice du Welz, reviens !). |
Deux heures de discussion couvrant la carrière cinématographique de McTiernan, depuis Nomads en 1986 qui était déjà passé à l’époque au BIFFF, jusqu’au 13ème Guerrier, quasiment tous ses films ont été l’occasion de replonger dans nos mémoires de cinévores à l’aide d’extraits diffusés sur le grand écran, avant d’entendre tous les souvenirs et anecdotes que le réalisateur a bien voulu partager avec nous.
Sans langue de bois, il nous a ainsi révélé sa relation avec les « executives » des studios ou avec les acteurs qu’il a eu le plaisir d’avoir devant sa caméra, d’un Bruce Willis talentueux mais tout en colère contenue à un Sean Connery qui voulait jouer le capitaine Marko Ramius (À la Poursuite d’Octobre Rouge) avec sa calvitie naturelle, avant de finalement accepter un postiche qu’il basa sur la coiffure du dramaturge Samuel Beckett.
Sans langue de bois, il nous a ainsi révélé sa relation avec les « executives » des studios ou avec les acteurs qu’il a eu le plaisir d’avoir devant sa caméra, d’un Bruce Willis talentueux mais tout en colère contenue à un Sean Connery qui voulait jouer le capitaine Marko Ramius (À la Poursuite d’Octobre Rouge) avec sa calvitie naturelle, avant de finalement accepter un postiche qu’il basa sur la coiffure du dramaturge Samuel Beckett.
Discutant longuement de son amitié professionnelle avec Arnold Schwarzenegger, un acteur qu’il a vu évoluer entre Predator et Last Action Hero, plus à l’aise avec les scènes physiques mais toujours en train d’observer ses partenaires de jeu pour apprendre le métier (notamment Carl Weathers sur le susnommé Predator) – Schwarzenegger étant devenu par la suite un homme politique qu’il admire également – il a répondu à la question du journaliste au sujet de notre Jean-Claude Van Damme national en avouant qu’il n’aurait jamais dû se retrouver dans le costume du Predator, c’était une idée saugrenue de l’agent de JCVD et tout le monde s’est rapidement aperçu que cela ne fonctionnerait pas. Le réalisateur n’a d’ailleurs pas hésité à égratigner au passage le design dudit costume dont plusieurs versions ont été nécessaires avant d’aboutir au résultat final porté par le géant Kevin Peter Hall dans les deux premiers films de la franchise. C’était particulièrement intéressant d’entendre McTiernan aborder son premier film Nomads (qu’il a écrit et réalisé), un film que j’affectionne particulièrement, car derrière ses atours de série B de genre, de vraies fulgurances crèvent l’écran autant au niveau de la réalisation et du montage que de l’atmosphère mystérieuse qui naît de cette histoire surnaturelle filmée principalement de nuit à Los Angeles. Une ville que le réalisateur exècre – d’après lui, c’est une ville vide où on vient pour gagner de l’argent afin de la quitter dès que possible – et un sujet qui le fascine : l’anthropologie, qu’il aurait pu étudier à l’université si sa route n’avait pas pris une autre direction. |
De ces vingt dernières années loin du cinéma à la suite d’une affaire de mise sur écoute pour laquelle il a été jugé, on saura juste qu’il survit en réalisant des publicités (notamment pour des jeux vidéo). Blacklisté par la profession (il n’a jamais été un ami des « costumes-cravates » à la tête des studios, de toutes façons), mais pas oublié par les fans de films à grand spectacle, McTiernan a confié avoir encore envie de réaliser des films, il a écrit quatre scénarii qu’il aimerait mettre en images avant son grand départ. C’est tout le mal qu’on lui souhaite, et après une soirée passée en sa compagnie, une seule envie : vite revoir les films essentiels qu’il nous a laissés, à commencer par Die Hard 1 et 3, là aussi une masterclass du genre !
La seconde masterclass s'est déroulée, elle, le 8 septembre en présence de Barry Sonnenfeld, Monsieur "Famille Addams" projeté dans la foulée le samedi 10 septembre. C'est d'ailleurs à l'occasion de cette projection que Muriel a pu collecter quelques anecdotes de tournage...
"The Addams Family" fut présenté sur scène par son réalisateur lui-même, Barry Sonnenfeld, l’un des invités d’honneur de cette édition. Lors d’une courte interview avant le lancement du film - ce qui était très appréciable pour ceux comme moi qui avaient raté sa Masterclass deux jours plus tôt – il nous révéla que la fin du film était à la base différente. En effet, dans le scénario l’Oncle Fétide n’était pas réellement le frère disparu de Gomez Addams mais il finissait par être accepté par la famille malgré tout. Pendant la première lecture du script par les acteurs réunis lors du « table read », Raul Julia et Angelica Huston n’appréciaient pas cette fin et le firent savoir au réalisateur en envoyant Christina Ricci demander à ce que la fin soit changée car du haut de ses 10 ans, elle était celle qui s’exprimait le plus clairement parmi eux. Lorsqu’on demanda à l’intéressé, Christopher Lloyd, ce qu’il en pensait, il répondit qu’il s’en fichait, mais la petite Christina était tellement persuasive que la fin fut bien modifiée !
Autre anecdote, à cette époque Christopher Lloyd mangeait de l’ail cru à longueur de journée et les autres acteurs devaient le garder à bonne distance pendant le tournage pour ne pas être incommodés par son haleine ! À la question de savoir s’il avait été tenté de s’occuper de la photographie sur le film, en plus de sa casquette de réalisateur, Sonnenfeld expliqua qu’il avait insisté pour engager l’un des meilleurs chefs opérateurs, Owen Roizman, afin justement de ne pas avoir à s’inquiéter de la lumière et du placement des caméras et ainsi pouvoir se concentrer sur la réalisation uniquement. Roizman est le directeur de la photographie sur de grands classiques du cinéma tels que French Connection, L’Exorciste, Les Trois Jours du Condor ou Tootsie. |
Pour terminer, le réalisateur se plia à la tradition de nous offrir une chanson a capella en interprétant le premier couplet et le refrain de la chanson contestataire des années 60 « Eve of Destruction » de Barry McGuire. Un invité assurément sympathique à qui l’on doit également les trois premiers Men in Black, Get Shorty et Wild Wild West et qui se consacre depuis à la production de séries TV.
Les festivités
Et comme toujours, le BIFFF, c’est l’occasion, outre de boire un petit maitrank ou une bonne Cuvée des Trolls bien fraîche, de découvrir toute une série de talents : peintures, expositions, costumes, marché de l’occasion, Q & A, nombreuses sont les activités à avoir pris leurs quartiers dans ce Palais 10 on ne peut plus animé.
Si vous avez envie d’en savoir plus sur la dernière édition ou, le cas échéant, de rejoindre la grande aventure du « BIFFF », toutes les informations pratico-pratiques sont à retrouver ici : https://www.bifff.net/fr/
Et comme toujours, le BIFFF, c’est l’occasion, outre de boire un petit maitrank ou une bonne Cuvée des Trolls bien fraîche, de découvrir toute une série de talents : peintures, expositions, costumes, marché de l’occasion, Q & A, nombreuses sont les activités à avoir pris leurs quartiers dans ce Palais 10 on ne peut plus animé.
Si vous avez envie d’en savoir plus sur la dernière édition ou, le cas échéant, de rejoindre la grande aventure du « BIFFF », toutes les informations pratico-pratiques sont à retrouver ici : https://www.bifff.net/fr/
UN BIFFF 2021 GRATINE ET CONFINE
Après une annulation pure et simple de son édition 2020, le BIFFF version Covid 21 s’invite cette année dans vos salons et chambres à coucher. Si un retour au mythique passage 44 était prévu cette année, c’est finalement à la maison que l’on découvrira la programmation du Festival International du Film Fantastique de Bruxelles.
Cette année, l’équipe du plus déjanté des festivals belges à d’ailleurs opté pour une programmation plus recentrée mais à l'image de ce qu'ils sont toujours parvenus à nous dégotter pour le plus grand plaisir de ses festivaliers. Ainsi, ce sont 48 longs-métrages qui seront rendus disponibles à ses spectateurs belges (le reste de l’Europe ne pourra en effet pas profiter de la programmation - la faute à la restriction de la libre circulation des personnes et des streamings en Europe …), parmi lesquels 3 avant-premières mondiales, 9 internationales et 4 européennes mais aussi 63 courts-métrages savamment sélectionnés ! Des films d'horreur ou de science-fiction, des comédies et des films intrigants, des documentaires, des métrages fantastiques issus des quatre coins de notre planète confinée, sans oublier le traditionnel «Focus Corée » qui s’inscrit dans la programmation depuis plusieurs années !
Le petit bonus pour cette édition adaptée ? Une section « infectée » dans laquelle on retrouvera 11 films sélectionnés en 2020 et restés dans les tiroirs fermés à double clé mais ressortis pour l'occasion hydro alcoolisée. Coups de cœur ou nanars ? A vous de voir !
Des attentats pour ouvrir et fermer la marche.
Cette année, l’équipe du plus déjanté des festivals belges à d’ailleurs opté pour une programmation plus recentrée mais à l'image de ce qu'ils sont toujours parvenus à nous dégotter pour le plus grand plaisir de ses festivaliers. Ainsi, ce sont 48 longs-métrages qui seront rendus disponibles à ses spectateurs belges (le reste de l’Europe ne pourra en effet pas profiter de la programmation - la faute à la restriction de la libre circulation des personnes et des streamings en Europe …), parmi lesquels 3 avant-premières mondiales, 9 internationales et 4 européennes mais aussi 63 courts-métrages savamment sélectionnés ! Des films d'horreur ou de science-fiction, des comédies et des films intrigants, des documentaires, des métrages fantastiques issus des quatre coins de notre planète confinée, sans oublier le traditionnel «Focus Corée » qui s’inscrit dans la programmation depuis plusieurs années !
Le petit bonus pour cette édition adaptée ? Une section « infectée » dans laquelle on retrouvera 11 films sélectionnés en 2020 et restés dans les tiroirs fermés à double clé mais ressortis pour l'occasion hydro alcoolisée. Coups de cœur ou nanars ? A vous de voir !
Des attentats pour ouvrir et fermer la marche.
Avec « The Shift » et « Riders of Justice », le BIFFF lie son ouverture et sa clôture sous le signe d’accidents hors norme. Dans « The Shift », le film de Alessandro Tonda présenté en avant-première internationale, c’est une tuerie brutale dans un lycée bruxellois qui sera mise en avant. Et lorsque les secours arrivent pour sauver quelques survivants, ils découvrent qu’à bord de leur ambulance se trouve un des coupables de ce massacre toujours armé d’une bombe corporelle. Détonnant !
Si le film d’ouverture annonce clairement la couleur, celui de clôture lui, jouera avec les nerfs des spectateurs et des protagonistes de « Riders of Justice », l’excellent film de Anders Thomas Jensen, déjà lauréat de 4 prix BIFFF pour « Les Bouchers verts » et « Adam’s Appels ». Dans ce nouveau long-métrage, Markus (inégalable Mads Mikkelsen), militaire intransigeant et sa bande de bras cassés décident de retrouver les auteurs d’un attentat qui a couté la vie de son épouse quelques jours plus tôt. Un film musclé qui fermera cette édition avec humour et brutalité. |
Comment ça marche ?
Loués pour la modique somme de 3€, tous les films de la programmation seront disponibles 48h à partir du moment de leur achat, l’occasion de voir et revoir les futures scènes cultes dont on parlera l’an prochain autour d’une Cuvée des Trolls ou d’un soda.
Mais quid de l’ambiance si chère au BIFFF nous direz-vous ? L’équipe a bien évidemment pensé à tout et même à rendre les 15 jours de festival un peu fou fou fou en vous invitant dans la BIFFF Zone où, mis à part le célèbre maitrank, vous retrouverez tout ce qui fait le sel de cet événement hors norme : animations, Q&A, concours, défis et surprises vous attendent sur le site Internet. Mais ce n’est pas tout ! Des Bifff packs seront livrés chez vous pour peu que vous ayez la chance d’habiter Bruxelles (et donc de bénéficier d’un couvre-feu jusque 22h qui vous empêcherait d’arpenter les rues à la recherche d’un Night and Day ouvert).
Loués pour la modique somme de 3€, tous les films de la programmation seront disponibles 48h à partir du moment de leur achat, l’occasion de voir et revoir les futures scènes cultes dont on parlera l’an prochain autour d’une Cuvée des Trolls ou d’un soda.
Mais quid de l’ambiance si chère au BIFFF nous direz-vous ? L’équipe a bien évidemment pensé à tout et même à rendre les 15 jours de festival un peu fou fou fou en vous invitant dans la BIFFF Zone où, mis à part le célèbre maitrank, vous retrouverez tout ce qui fait le sel de cet événement hors norme : animations, Q&A, concours, défis et surprises vous attendent sur le site Internet. Mais ce n’est pas tout ! Des Bifff packs seront livrés chez vous pour peu que vous ayez la chance d’habiter Bruxelles (et donc de bénéficier d’un couvre-feu jusque 22h qui vous empêcherait d’arpenter les rues à la recherche d’un Night and Day ouvert).
Et pour les professionnels, le BIF Market n’est pas en reste puisque sa 5ème édition réunira toujours des centaines de participants autour de work shop (in progress), l’occasion rêvée de partager son expérience et voir aboutir des productions parmi lesquelles celles de notre plat pays.
Envie de rejoindre l’équipe du festival et ses nombreux habitués ? C’est par ici que ça se passe : https://www.bifff.net/fr. Mais ne tardez pas à vous inscrire et obtenir votre pass, ça va bientôt commencer ! |
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BIFFF 2019
En ouvrant sa 37ème édition avec la comédie « American Animals » et « Pet Sematary » (Simetierre en version française), le BIFFF montre qu’il est le seul festival belge à pouvoir réaliser un grand écart qui ferait pâlir de jalousie Jean-Claude Vandamme ou Jet Li. Et ce n’est rien à comparer à la programmation qui attend ses milliers de festivaliers, habitués au mode de fonctionnement si cher et particulier. Bienvenue dans le temple de l’horreur, du thriller, de la science-fiction et du fantastique.
BIFFF 2019, entre habitudes et nouveautés.
On le sait, on prenant place dans les couloirs et les salles de BOZAR en ce mois d’avril, c’est prendre le risque d’enchainer les séances jusqu’à ne plus savoir se repérer dans le temps, découvrir des artistes aussi farfelus qu’impressionnants, croiser des inconditionnels aux grandes cernes ou se plonger dans des films inédits, en VR, longs, courts, français, espagnols, anglais, coréens, bref, c’est aller à la rencontre d’un monde dont on ignorait parfois l’existence.
BIFFF 2019, entre habitudes et nouveautés.
On le sait, on prenant place dans les couloirs et les salles de BOZAR en ce mois d’avril, c’est prendre le risque d’enchainer les séances jusqu’à ne plus savoir se repérer dans le temps, découvrir des artistes aussi farfelus qu’impressionnants, croiser des inconditionnels aux grandes cernes ou se plonger dans des films inédits, en VR, longs, courts, français, espagnols, anglais, coréens, bref, c’est aller à la rencontre d’un monde dont on ignorait parfois l’existence.
Du 9 au 21 avril, ce sont donc 97 films qui seront proposés aux festivaliers parmi lesquels 10 avant-premières mondiales, 11 avant-premières internationales, 10 avant-premières européennes, 9 longs-métrages belges. Hellboy, Iron Sky 2 (The coming race), Pet Sematary, Assassination Nation, The Beach Bum, Dragged Across Concrete, Little Monsters, The room, The Hole in the ground ou encore Play or die, sont les plus attendus d’entre eux.
Côté nouveautés, il y en a une fameuse fournée cette année. Le plus sportifs d’entre vous pourront participer à la toute première ZOMBIFFF RUN où coureurs et zombies s’en donneront à cœur joie au centre de Bruxelles ! Rendez-vous le 13 avril entre 20h et 00h pour les plus téméraires. Vous êtes plutôt pépères ? Dans ce cas, la séance « Nanarland » devrait vous satisfaire. |
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Le 19 avril à 00h30 (ou plutôt le 20 très tôt au matin), vous assisterez à un combo de choix avec « Samourai Cop » et « Troll 2 ». Vous le regrettiez, vous en rêviez ? Le rafting sur marée humaine fera son grand retour cette année, en collaboration avec le Magic Land Theatre. Quand on vous disait que cette édition 2019 allait être légendaire…
Cinéma, marché, expos, concours et cetera
Fouineurs, collectionneurs d’editions limitees ou curieux en tout genre, le Fantasy Market vous ouvre ses portes le Mercredi 17 avril 2019 de 13h00 a 22h00 dans le prestigieux Hall Horta du Palais des Beaux Arts. Mais ce n’est pas tout ! Une nouvelle compétition de Body Painting se déroulera le 21 avril 2019 alors que le 36ieme Make-Up Contest récompensera ses gagnants le vendredi 19 avril. Du 10 au 18 avril 2019, le BIFFF organise sa 4ième édition de l’International Art Contest durant laquelle les candidats sélectionnés présenteront une Live Performance de 5heures, au bout de laquelle ils devront finaliser et présenter une peinture a un jury professionnel. Ces performances publiques et gratuites se dérouleront les 10, 12, 13, 14, 16 et 18 avril de 17h00 a 22h00 au BIFFF. Vous aimez danser ? Ne manquez pas le célèbre « Bal des Vampires » le samedi 20 avril prochain. Tout cela, sans oublier son traditionnel Boulevard du Polar qui prendra ses quartiers du 12 au 14 avril pour une 4ème saison qui accueillera, entre autres, Barbara Abel, Stéphane Bourgoin, Nadine Monfils ou encore Tove Alsterdal.
Tout tout tout, vous saurez tout sur cette 37ème édition sur : https://www.bifff.net/fr/
Cinéma, marché, expos, concours et cetera
Fouineurs, collectionneurs d’editions limitees ou curieux en tout genre, le Fantasy Market vous ouvre ses portes le Mercredi 17 avril 2019 de 13h00 a 22h00 dans le prestigieux Hall Horta du Palais des Beaux Arts. Mais ce n’est pas tout ! Une nouvelle compétition de Body Painting se déroulera le 21 avril 2019 alors que le 36ieme Make-Up Contest récompensera ses gagnants le vendredi 19 avril. Du 10 au 18 avril 2019, le BIFFF organise sa 4ième édition de l’International Art Contest durant laquelle les candidats sélectionnés présenteront une Live Performance de 5heures, au bout de laquelle ils devront finaliser et présenter une peinture a un jury professionnel. Ces performances publiques et gratuites se dérouleront les 10, 12, 13, 14, 16 et 18 avril de 17h00 a 22h00 au BIFFF. Vous aimez danser ? Ne manquez pas le célèbre « Bal des Vampires » le samedi 20 avril prochain. Tout cela, sans oublier son traditionnel Boulevard du Polar qui prendra ses quartiers du 12 au 14 avril pour une 4ème saison qui accueillera, entre autres, Barbara Abel, Stéphane Bourgoin, Nadine Monfils ou encore Tove Alsterdal.
Tout tout tout, vous saurez tout sur cette 37ème édition sur : https://www.bifff.net/fr/
La sélection (plus ou moins assumée) d'Ecran et toile.
Cette année, notre équipe a vu:
Cette année, notre équipe a vu:
BIFFF 2018 Présentation
36ème édition déjà ! Le temps passe mais pas sur le BIFFF qui ne prend aucune ride, que du contraire ! Avec sa nouvelle série de films inédits, ses invités prestigieux, ses soirées de folie, le plus fantastique des festivals ne manque pas de vous réserver quelques moments d’anthologie. Suivez le guide…
Ce que réserve cette nouvelle édition
11 films du plat pays, dont 6 en avant-première mondiale et de multiples co-productions, la Belgique ne manque pas d’être mise à l’honneur. Mais les inédits ne se déclinent pas qu'en noir jaune rouge. Cette année encore, le BIFFF propose une série de belles avant-premières parmi lesquelles 12 avant-premières mondiales, 13 avant-premières internationales et 9 avant-premières européennes. Parmi les réalisateurs attendus, Ryuhei Kitamura, John Cameron Mitchell, Paco Plaza, Lloyd Kaufman, Xavier Gens, Kiyoshi Kurosawa, ou encore Kim Ki-duk. Bref, des films venus de tous horizons ! Côté fun, on notera la mise en place des guildes du BIFFF. Deux armées d’inconditionnels et fans de la première heure s’affronteront à coups de tweet, notifs et autres batailles virtuelles. L’occasion de faire parler du festival le plus crazy au monde de façon originale. Rejoindrez-vous le côté obscur de la guilde ? |
Marché, virtualité, convivialité
L’an dernier, l’équipe du BIFFF a eu l’ingénieuse idée de créer le premier marché de genre européen et cette fois encore, le BIF Market s’apprête à accueillir vendeurs et acheteurs des quatre coins du monde. Côté jeune succès, on se doit d’évoquer la 2ème édition du Festival Boulevard du Polar, qui se déroulera les 13 et 14 avril aux Beaux-Arts, et qui amènera des pointures de la littérature telles que Craig Johnson et Deon Meyer. Le programme complet se trouve d’ailleurs sur www.boulevard-dupolar.be
Au rayon nouveautés, on note l’apparition d’une exposition de réalité augmentée unique en Belgique et une section Virtual Reality très attendue. La sortie de Ready Player One n’y est peut-être pas pour rien… Et puis, il y a la Gaming Madness Zone monstrueuse où les festivaliers les plus téméraires oseront s’aventurer.
Au rayon nouveautés, on note l’apparition d’une exposition de réalité augmentée unique en Belgique et une section Virtual Reality très attendue. La sortie de Ready Player One n’y est peut-être pas pour rien… Et puis, il y a la Gaming Madness Zone monstrueuse où les festivaliers les plus téméraires oseront s’aventurer.
Côté changements, le Bal des Vampires se délocalise aux Beaux-Arts, l’occasion de découvrir les lieux sous angle neuf. Le principe reste le même et tous les aficionados ont déjà pris leur golden ticket pour le célèbre event. Notez que celui-ci aura lieu le samedi 7 avril 2018 dès 21h au Hall Horta du Palais des Beaux-Arts.
Le dimanche 8 avril, c’est un contest de body painting qui attend les artistes du BIFFF alors que celui des make up se déroulera du 4 au 12 avril. Et côté apparat, on peut d’ores et déjà dire que la venue de la 501ème FanWars Garrison en mettra plein les mirettes aux fans de l’univers Star Wars. Officiellement reconnue par Lucasfilm, elle est composée de plus de 12.000 membres dans le Monde, répartis en plusieurs clubs nationaux. Les Stormtroopers accompagnés d’un seigneur Sith viendront animer la journée du 15 avril, notamment pendant l’après-midi des enfants. Artbiff, concours d’art, animations et autres events ponctuels viennent compléter l’agenda déjà bien chargé de nombreux festivaliers. |
Guillermo del Toro, la venue incroyable du maestro !
C’est sans conteste l’événement le plus huge qu’il nous ait été donné de voir ces derniers temps. Le vrai, l’unique, l’immense Guillermo del Toro rendra visite au BIFFF pour une masterclass exceptionnelle, co-animée par Fabrice du Welz et Jonas Govaerts. L’occasion pour le maître mexicain de venir chercher sa récompense made in BIFFF attribuée il y a déjà quelques années et faire un peu de places entre les 4 Oscars récemment collectés pour son excellent film « La forme de l’eau ».
Des jurys, des compétitions, des projections
Comme chaque année, de nombreuses catégories se voient attribués des jurys prestigieux dont le seul but sera de départager le films qui méritent le coup d’œil. Un jeu d’enfant ? Si on veut. Si le plaisir de la découverte est total, celui de l’attribution des précieux prix est une autre affaire. Le palmarès de cette 36ème édition sera révélée en fin de festival.
En attendant de découvrir tout cela en mots et en images, nous vous invitons à vous rendre sur le site du BIFFF pour prendre connaissance de toutes les informations pratiques : http://www.bifff.net
En attendant de découvrir tout cela en mots et en images, nous vous invitons à vous rendre sur le site du BIFFF pour prendre connaissance de toutes les informations pratiques : http://www.bifff.net
Cette année, Ecran et toile a vu
Un petit lien sur les affiches vous emmènera directement vers notre avis du film. Enjoy!
Le palmarès 2018
Courts-métrages belges
-Prix Jeunesse : The Day the Dog disappeared (Ruth Mellaerts & Boris Kuijpers)
-Prix SABAM : Het Nest (Matthias De Bondt)
-Prix La Trois : Les Naufragés (Mathieu Mortelmans)
-Prix BeTV : Les Naufragés (Mathieu Mortelmans)
-Grand Prix et Prix Fedex : Lost in the Middle (Senne Dehandschutter)
Court-métrage européen
Belle à croquer (Axel Courtière - France)
PRIX DE LA CRITIQUE: DHOGS (Andrés Goteira)
7e PARALLELE: Mention spéciale : THE PLACE (Paolo Genovese) - Prix 7e Parallèle : BLUE MY MIND (Lisa Brühlmann)
COMPETITION THRILLER: Mention spéciale : A SPECIAL LADY (An-kyu Lee) - Prix Thriller : MEMOIR OF A MURDERER (Shin-yeon Won)
COMPETITION EUROPEENNE : Méliès d'Argent : THE CURED (David Freyne)
COMPETITION INTERNATIONALE
Corbeau d'Argent : MON MON MON MONSTERS (Giddens Ko)
Corbeau d'Argent : TIGERS ARE NOT AFRAID (Issa Lopez)
Corbeau d'Or : INUYASHIKI (Shinsuke Sato)
PRIX DU PUBLIC: TIGERS ARE NOT AFRAID (Issa Lopez)
-Prix Jeunesse : The Day the Dog disappeared (Ruth Mellaerts & Boris Kuijpers)
-Prix SABAM : Het Nest (Matthias De Bondt)
-Prix La Trois : Les Naufragés (Mathieu Mortelmans)
-Prix BeTV : Les Naufragés (Mathieu Mortelmans)
-Grand Prix et Prix Fedex : Lost in the Middle (Senne Dehandschutter)
Court-métrage européen
Belle à croquer (Axel Courtière - France)
PRIX DE LA CRITIQUE: DHOGS (Andrés Goteira)
7e PARALLELE: Mention spéciale : THE PLACE (Paolo Genovese) - Prix 7e Parallèle : BLUE MY MIND (Lisa Brühlmann)
COMPETITION THRILLER: Mention spéciale : A SPECIAL LADY (An-kyu Lee) - Prix Thriller : MEMOIR OF A MURDERER (Shin-yeon Won)
COMPETITION EUROPEENNE : Méliès d'Argent : THE CURED (David Freyne)
COMPETITION INTERNATIONALE
Corbeau d'Argent : MON MON MON MONSTERS (Giddens Ko)
Corbeau d'Argent : TIGERS ARE NOT AFRAID (Issa Lopez)
Corbeau d'Or : INUYASHIKI (Shinsuke Sato)
PRIX DU PUBLIC: TIGERS ARE NOT AFRAID (Issa Lopez)
A la découverte de la 35ème édition du BIFFF
Cette année, le BIFFF inaugure sa 35ème édition. Et oui, déjà ! Fort de ses années d’expérience, le Festival offre, comme chaque année, une programmation diverse et variée, permettant à tout un chacun de trouver son bonheur. Durant deux semaines, ce sont des films fantastiques, des thrillers, des films d’horreur et de science-fiction qui seront projetés dans les trois salles du BOZAR de Bruxelles. Car oui, depuis quelques années, le BIFFF a migré du Passage 44 où il avait pris ses marques, pour envahir un autre endroit emblématique de la capitale.
Mythique, le Festival n’est pas dédié qu’au cinéma. Du 13 au 15 avril, vous pourrez arpenter les allées du « Bif Market », vous aurez aussi la possibilité de vous rendre à diverses expositions artistiques dans le cadre du « Artbifff », du « 2ème International Art Contest » ou encore testant les créations folles de Thierry De Raymaeker à l’occasion de son « Pimp My Chair ». Vous pourrez également participer au « Concours de maquillage sur visage » (que vous soyez amateurs ou professionnels, peu importe) du 5 au 13 avril.
Même les geeks auront leur petit moment à eux. En effet, la troisième édition du « Gaming Madness Day » se tiendra au Palais des Beaux-Arts (du 5 au 15 avril) et proposera de multiples jeux, VR ou non, pour qui le veut… Vous n’êtes pas rassasiés, petits gourmands ? Dans ce cas, on vous invite à participer à de multiples activités et soirées, proposées dans le cadre du BIFFF. Prenons par exemple le traditionnel « Bal des vampires » qui se tiendra le samedi 8 avril à l’Hotel de la Poste alors que le « Zombifff day » accueillera ses adeptes le vendredi 14 avril. |
Mais revenons à la programmation ciné si vous le voulez bien….
La programmation ciné
Ce mardi 4 avril, à la tombée de la nuit, le BIFFF ouvrait sa 35 édition avec l’intronisation du réalisateur Park Chan-Wook dans l’Ordre des Chevaliers du Corbeau. Cette célébration était suivie d’un film « The girl with all the gifts » de Colm McCarthy, avec Glenn Close, Gemma Arterton et Paddy Considine.
Le BIFFF, c’est un ensemble de quatre compétitions thématiques reprenant chacune une dizaine de films. La Compétition Internationale sera présidée par la réalisatrice Euzhan Palcy, celle consacrée au Thriller par l’écrivain Patrick Raynal, la Compétition Européenne sera orchestrée par le musicien/compositeur Sylvain Goldberg et les débats autour du 7ème Parallèle seront dirigés par l’auteur/acteur Aaron Christensen. Petite nouveauté cette année, le Prix de la Critique sera remis conjointement par l’UPCB et l’UCC. Que de prix ! |
Enfin, une programmation « Panorama » permettra aux cinéphiles et autres curieux de découvrir treize films de tous horizons, avec des réalisations issues de la Chine (« Call of Heroes » à la Belgique (« Mon ange »), en passant par l’Afrique du Sud (« From a house on willow street ») pour ne citer que quelques exemples. La cérémonie de clôture proposera le tant attendu film espagnol « The bar », du réalisateur Alex de la Iglesia et le film américain « XX » qui a fait sensation au dernier festival de Sundance. |
Ce n’est toujours pas assez ? Vous exagérez ! Histoire de vous satisfaire au maximum, le BIFFF a aussi eu la brillante idée de proposer des Masterclass de qualité. Le samedi 8 avril, vous pourrez assister à une rencontre avec le réalisateur Fabrice du Welz. Le mercredi 12 avril, place à la musique avec un masterclass « soundtrack ». Paul Englebert, Thierry Plas (le guitariste et co-auteur du groupe Machiavel) et Michel Duprez aborderont ce thème depuis le ciné 3 du Bozar. Enfin, le vendredi 14 avril, l’écrivain à succès Franck Thilliez et Stéphane Bourguoin (spécialiste des tueurs en série) vous poseront cette question : « Y-a-t-il un tueur en série dans la salle » ?
Des questions, des envies, des précisions ? Toutes les informations pratiques, la programmation, les lieux de rendez-vous sont disponibles sur le site du BIFFF : http://www.bifff.net
Des questions, des envies, des précisions ? Toutes les informations pratiques, la programmation, les lieux de rendez-vous sont disponibles sur le site du BIFFF : http://www.bifff.net
Le palmarès 2017
Compétition internationale
Corbeau d'Or
"Safe neighborhood" de Chris Peckover Corbeau d'Argent: "We go on" de Jesse Holland & Andy Mitton "The mermaid" de Stephen Chow Mention spéciale: "Vanishing time" de Tae-hwa Um |
Compétition
européenne Méliès d'Argent
"Small town killers" de Ole Bornedal Mention spéciale: "Orbiter 9" de Hatem Khraiche Pégase 2017
(Prix du public) "The autopsy of Jane Doe"
de Andre Overdal |
Compétition
7ème parallèle Prix du 7ème parallèle:
"Swiss army man" de Dan Kwan & Daniel Scheinert Mention spéciale: "Saving Sally" de Avid Liongoren Prix de la critique
"The Tunnel"
de Seong-hun Kim |
Compétition
thriller Prix du Meilleur thriller:
"At the end of the tunnel" de Rodrigo Grande Mention spéciale: "Free fire" de Ben Wheatley Palmarès courts-métrages Grand Prix :
"Spooked" Méliès d’Argent: "Siyah Cember" Prix Jeunesse : "Downside Up" Prix BeTv/ Fedex: "Spooked" Prix La Trois : "Nimmer" Prix Sabam : "Downside Up" |
Ecran et toile a vu :
Un petit clic sur l'affiche et vous découvrirez ainsi notre avis sur chacun d'entre eux.
Coup de projecteur sur "Proteus - Workshop"
Le BIFFF, c’est aussi l’occasion de découvrir des passionnés, des talents, des artisans qu’il est difficile de croiser le reste du temps. C’est le cas de « Proteus – Worshop » avec qui nous avons échangé l’espace d’un instant autour de quelques objets particulièrement intrigants, exposés lors de cette 35ème édition. Sur la table de leur stand, on peut ainsi découvrir un bras amputé, un crâne révulsé, un extraterrestre, une lampe que Jonathan Doe (de « Seven ») aurait probablement apprécié et un bras mécanique d’influence « steam punk ». En latex ou en silicone, ces différents objets sont d’abord moulés pour finalement être travaillés de très près et leur donner un réalisme étonnant. On en veut pour preuve les poils et plis de doigts observés sur ce bras inanimé. Son créateur nous l’atteste, ce sont des dizaines voire des centaines d’heures qui attendent les concepteurs de ces sculptures étranges mais le résultat en vaut vraiment la peine. |
S’ils vivent difficilement de leur passion à l’heure actuelle, Jake et Alexandre sont en attente de beaux projets, cinématographiques ou télévisés. Mais le vent tournera peut-être car ils ont récemment collaboré au tournage d’un métrage pour lequel ils ont réalisé un troll articulé que l’on peut découvrir ici. Experts en effets spéciaux, ces deux jeunes bruxellois, situés rue de la croix de pierre à Saint Gilles n’attendent qu’une chose : que de sympathiques propositions viennent jusqu’à eux pour mettre à profit tout leur savoir-faire. C’est tout le bien qu’on leur souhaite… Plus d’infos sur leur page Facebook Proteus workshop |
La galerie photos du BIFFF 2017
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