Le WHAFF, 6 ans déjà!
Six ans, six automnes déjà que le Waterloo Historical Film Festival prend ses quartiers dans la célèbre ville du Brabant Wallon. Six années durant lesquelles les organisateurs ont permis à un large public de découvrir une programmation de grande qualité et des activités familiales diverses et variées. Cette édition 2018 ne fait pas exception. La preuve:
Avant-premières, compétitions et documentaires.
Du 18 au 21 octobre 2018, un jury d'invités, présidé par le réalisateur Olias Barco, évalueront huit films présentés en compétition. Accompagné de Philippe du Janerand, Marianne Basler, Stéphane Bissot, Gwendolyn Gouvernec. Victoria Olloqui, Alexandre Thibault, Olivier Sitruk et Julie Arnu, le metteur en scène déclarera les grands gagnants de cette sélection officielle lors du gala de clôture du dimanche soir. Meilleur film, meilleur comédien, meilleure comédienne, meilleurs décors et meilleurs costumes seront récompensés par un Clion – contraction du célèbre Lion de Waterloo et de Clio la muse de l’histoire. A ces prix, on ajoute celui du jury jeune (présidé par le comédien Igor Van Dessel), celui du public et celui de la critique.
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Mais le WHAFF c'est aussi l'occasion de découvrir des films en avant-première. Ainsi, "Le Facteur Cheval" de Niels Tavernier, "Utoya - July 22" de Erik Poppe ou "Cold War" de Pawel Pawlikowski seront proposés au public lors de soirées exceptionnelles. Mais ce n'est pas tout, Brigitte Fossey sera mise à l'honneur le samedi 20 octobre lors d'une cérémonie d'hommage suivie de la projection de "Jeux interdits" de René Clément.
Adeline Blondieau raconte des histoires
Dans l'univers feutré de la ferme du Dernier QG de Napoléon, transformé pour l'occasion en salle de spectacle, la charmante et talentueuse comédienne Adeline Blondieau accompagnée de sa complice Severine Robic prennent les enfants par la main et leur racontent de biens belles histoires le samedi et le dimanche.
Adeline a écrit de bien belles histoires originales évoquant la tendresse, le rêve et le partage ainsi que la complicité entre copains ou l'importance de la famille. C'est aussi de très jolies histoires racontant des moments de la vie quotidienne que l'on connaît tous : le travail, la différence, l'amitié, l'amour... |
Un moment de pur plaisir où les enfants (de 4 à 9 ans) partent à la recherche de la petite souris dans toute la maison, trouvent une solution pour aider la nature qui devient triste, affrontent leurs complexes et apprennent à apprécier leurs pieds, drôles et poétiques à la fois, des histoires racontées avec tendresse, à déguster avec bonheur.
Pour en savoir plus sur les activités proposées par le festival, rendez-vous sur la page officielle
Waterloo Historical Film Festival, clap 5ème!
Présentation du festival du film historique de Waterloo, édition 2017
Du 19 au 22 octobre prochains, la cinquième édition du Waterloo Historical Film Festival prendra ses quartiers au cinéma Wellington. Pour la première fois, les spectateurs pourront côtoyer les jurés officiels en assistant au gala d'ouverture et même à la remise des prix. Mais comme chaque année, plusieurs animations, dont des séances "Special Kids", des projections pédagogiques et la reconstitution du dîner d'inauguration de l'Orient-Express, leur seront proposées, l'occasion de découvrir l'histoire et le cinéma autrement.
La compétition officielle
Que serait un festival sans sa compétition officielle? Celle du WaHFF 2017 reprend 8 films d'horizons et de sujets différents.
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- 1945 - La passion d’Augustine - In Guerra per amore - Insyriated - L’échange de princesses - Wolyn - Blindness - Emilia Tous les films de le compétition sont présentés sur notre page WaHFF 2017 |
Mise en scène, actrice, acteur, décors et costumes, nombreux sont les prix qui pourront être décernés durant la Cérémonie de clôture qui se tiendra le dimanche 22 octobre. Le jury, qui a la lourde tâche de trancher, est composé lui aussi d'artistes issus d'univers et des pays différents. Présidé par Véronique Jannot, on retrouvera ainsi Joyce Buñuel, Jean-François Balmer, Francis Lalanne, Isabelle de Hertogh, Victoria Olloqui, Delphine Depardieu, Natacha Amal ou encore Laurent Kerusore Du côté du jury de la critique, on retrouvera Frédérique Morin du "Flair" et journal "7sur"7, Charles Declercq, journaliste pour le journal "Dimanche", ou "Cathobel", animateur radio sur "RCF" et rédacteur de "Cinécure". Pour compléter le trio, on ajoute notre Thomas Léodet, journaliste pour "Vers l'avenir" et ... rédacteur sur "Ecran et toile.com" |
Présentation du jury
Ce 19 octobre, le jury officiel du WaHFF 2017 prenait ses quartiers dans la ville de Waterloo. La conférence de presse était une belle occasion de découvrir celles et ceux qui, depuis leurs fauteuils rouges, se plongeront dans une compétition et rendront un verdict dans quatre jours. Parmi eux, Isabelle de Hertogh, Victoria Olloqui, Francis Lalanne, Natacha Amal, Jean-François Balmer et Joyce Buñuel. Géraldine Depardieu et Laurent Kerusoré, initialement annoncés, ont été retenus pour raison professionnelle alors que la Présidente Véronique Jannot l'était par un petit souci de santé. |
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Après une présentation dans les bonnes et dues formes, Florence Reuter, la Bourgmestre de la ville de Waterloo, a cédé la parole à Cédric Monnoye, directeur et organisateur du festival. Chaque membre du jury a ensuite été invité à rejoindre le devant de la scène, après une petite biographie express truffée de références. Jean-François Balmer dira d'ailleurs "C'est la première fois que je fais partie d'un jury. Les portes ouvertes sont les seules qui ne me font pas peur" et Francis Lalanne de rajouter: " C'est un grand bonheur pour moi d'être ici. Parmi les grandes batailles qui ont eu lieues à Waterloo, j'en retiendrai deux. Une que je n'évoquerai pas, en bon Français. L'autre, c'est l'avènement de ce beau festival". Les mots de la fin, nous les laisseront à Natacha Amal: "En tant que membre du jury, on juge le talent des autres. Il faut regarder, découvrir, ressentir le travail du réalisateur et l'implication des tous les acteurs, accepter de se faire transporter. Je suis née à Bruxelles et même si je suis très contente de passer pour une étrangère ici, je suis tout de même un peu chez moi"...
Ciné-débat : Petit bout d’histoire de la presse cinématographique belge
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Présent à Waterloo ce samedi 21 octobre au cinéma Wellington pour évoquer l’évolution de la presse cinématographique belge, Philippe Reynaert, notre Monsieur Cinéma s’installe confortablement dans le fauteuil qui l’attend sur le devant de la scène. Animé par David Hainaut, journaliste et président de l'Union de la Presse Cinématographique Belge (depuis 2012), le ciné débat se révèle très vite passionnant. Entre photographies, confidences et anecdotes, Philippe Reynaert nous dit tout sur son parcours dans le monde du 7ème art. Ce que l’on retiendra de ce ciné-débat : |
Philippe Reynaert n’a que 27 ans lorsqu’il entre en tant que pigiste (et objecteur de conscience) au magazine « Les amis du film et de la TV». Quelques temps plus tard, aidé de quelques amis, il se lance dans l’aventure de « Visions », un mensuel belge parlant du cinéma et paru sous un format journal quelque peu particulier. Son premier numéro, vendu à 8000 exemplaires, touche le cœur des cinéphiles belges. Nous sommes en 1984. Philippe Reynaert présente déjà le « Ciné-club de Minuit » mais son cheval de bataille, c’est son journal « Visions ». L’année suivante, la rédaction décide de changer de format et opte pour une version magazine reliée. Mais ce n’est pas la seule révolution apportée à « Visions » : la couleur fait son apparition en 1985, les publicités se font un peu plus nombreuses et un supplément VHS vient l’étoffer dès 1986. « Visions » a de l’ambition et finit même par débarquer en France, en septembre 1986, sous le titre « Visions international ».
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Concurrent direct du magazine « Studio » (qui sort son premier numéro en octobre de la même année), le magazine belge se fait une belle petite réputation. Pour subsister face aux grosses machines que sont « Studio » et « Première », Philippe Reynaert a l’idée de faire connaître son magazine via l’émission télé « Stars visions », diffusée sur France 3 et créée à l’occasion des 40 ans du Festival de Cannes. Henry Chapier, qui co-présente l’émission, croit au bagout et au talent de notre critique aux lunettes blanches mais cela ne va malheureusement pas durer. Racheté par « Studio », « Visions » disparaît des rayons de librairie. Pour autant, Philippe Reynaert ne quitte pas le monde du cinéma, que du contraire ! Devenu le directeur de Wallimages il y a 16 ans déjà, notre Monsieur Cinéma n’a pas fini de défendre les couleurs de notre cinéma belge !
Clion d'honneur: Anouk, la bien aimée.
Le Festival du film historique de Waterloo a décidé de mettre à l’honneur une comédienne de renom : Anouk Aimée. Celle qui a fait chavirer nos cœurs dans « Un Homme et une femme », avant de le faire 20 après, a aussi renversé celui de nombreux comédiens qui lui ont donné la réplique durant plus de soixante ans. Ce samedi soir, ses ambassadeurs de cœur n’étaient personne d’autre que son ami Jean-Pierre Castaldi et son ancien agent Dominique Besnehard. La remise du Clion d’honneur pour récompenser la carrière de la comédienne était une belle occasion de retracer sa filmographie mais aussi d’obtenir quelques confidences sur celle que beaucoup surnomme « la bien aimée ». Au fil d’une discussion menée par Philippe Reynaert, ses amis se confient : |
Dominique Besnehard : « Je connais Anouk depuis le lycée. Enfant, j’habitais Houlgatte et mes parents tenaient un supermarché. La maman de Claude Lelouch était leur cliente et quand mon père la livrait, j’allais avec lui pour apercevoir un acteur ou une actrice. La première fois que j’ai vu Anouk, c’est lors de la scène du film de Lelouch, lorsque la Ford Mustang tourne sur la plage de Deauville. Trente ans plus tard, j’étais l’agent de Jean-Louis Trintignant... et d’Anouk aimée ». Jean-Pierre Castaldi : « J’ai rencontré Anouk lors du tournage de « Mon premier amour » d’Elie Chouraqui où j’étais son partenaire. Nous sommes restés intimes durant des années. Anouk est une femme qui est en permanence dans sa bulle, elle est décalée, dans un autre univers mais elle a la force incroyable de nous emmener dans cet univers. » Dominique Besnehard : « Anouk n’a pas eu une enfance facile… Ses parents étaient des comédiens juifs et portent le nom de Dreyfus. Porter le nom Dreyfus durant la guerre, c’est loin d’être simple. Durant la guerre, alors qu’elle n’était qu’une enfant, Anouk s’est faite baptisée et a toujours été cachée pour survivre à l’Holocauste. Elle a été sauvée plusieurs fois et notamment grâce à des soldats. |
Elle n’a jamais rêvé de faire du cinéma. Un jour, alors qu’elle se promenait avec sa mère, Anouk a été arrêtée par Henri Calef parce qu’il l’a trouvait très jolie. C’est ainsi qu’elle a tourné son premier film : « La maison sous la mer ». Elle n’a pas du tout voulu être actrice et n’a jamais couru après les rôles. Elle s’est laissée vivre, et a toujours opté pour la Dolce Vita … »
Jean-Pierre Castaldi : « Anouk est une grande amoureuse. Elle a souvent suivi les acteurs dont elle était amoureuse. C’est ainsi que durant des années, elle s’est retrouvée à Londres où elle avait suivi Albert Finney. C’est Lelouch qui a été la rechercher pour tourner avec elle « Si c’était à refaire » et elle est revenue au cinéma ».
Dominique Besnehard : « Anouk a eu la Palme d’Or pour « La Dolce vita » et a tourné ensuite « 8 et demi ». Elle a eu une carrière internationale sans le vouloir. Anouk, c’est un félin. Elle veut qu’on aille la chercher et après, elle ne lâche rien. C’est quelqu’un qui n’est pas attiré par l’argent. Elle a une pureté d’âme. Elle a parfois fait des choix étranges mais elle est aussi à l’origine du cinéma d’auteur qu’elle a toujours défendu. C’est une sorte de muse pour beaucoup de cinéastes. Elle a fait du théâtre aussi mais elle aime moins cela car ça l’oblige à quitter ses animaux plusieurs soirs et elle n’aime pas ça. C’est une coriace : avec la pièce « Love letters », elle a épuisé pas mal de partenaires : Bruno Cremet, Alain Delon, Philippe Noiret, Jacques Weber… Ce n’est pas une grande bavarde et encore moins une narcissique. Je pense qu’on a bien mieux parlé d’elle qu’elle ne l’aurait fait ». |
Une multitude d'événements
L'objectif étant de faire rayonner le festival, plusieurs animations, organisées en marge du festival, se tiendront parfois en dehors des Cinés Wellington. Le public pourra assister durant ces 4 jours de festival à des événements tels que:
- Le gala d'ouverture, le jeudi 19 octobre à 20h30 aux Cinés Wellington. Il sera, pour la première fois, ouvert au public ! Après la cérémonie d'ouverture et la présentation du jury officiel et des invités, le film "L'échange des princesses", tourné en partie au château de la Hulpe, sera diffusé en première mondiale ! Le gala de clôture du 22 octobre, sera l'occasion de découvrir "Au revoir là-haut"
- Hommage à Anouk Aimée. Le samedi 21 octobre, une soirée hommage sera organisée aux Cinés Wellington à Waterloo en l'honneur de la comédienne Anouk Aimée. Après la projection du court-métrage "Anouk, la bien Aimée", une interview rencontre permettra d'en savoir un peu plus sur la carrière de cette actrice de renom. Un Clion d'honneur lui sera ensuite remis avant de la découvrir sur grand écran, dans le film "Lola" de Jacques Demy.
- "La Chantanne fait son cinéma", le vendredi 20 octobre à 20h à la Maison communale de Waterloo. Fondée en 1970, cette chorale mixte présentera un florilège de chansons sur le thème des musiques de film, telle que "West Side Story" de Leonard Bernstein, "Circle of Life" d'Elton John ou encore "Skyfall" d'Adèle.
- Les petits déjeuners du festival, les samedi 21 et dimanche 22 octobre à 9h aux Cinés Wellington. Les lève-tôt pourront profiter d'un copieux repas avant d'assister à la séance de leur choix.
- Des histoires contées aux enfants par Cathy Immelen, les samedi 21 et dimanche 22 octobre à 10h et 14h30 au Dernier QG de Napoléon. Des séances gratuites pour les familles, à la lisière entre théâtre et cinéma.
- Une ciné-conférence avec Philippe Reynaert, rédacteur en chef du magazine Visions et ancien Monsieur cinéma de la RTBF, le samedi 21 octobre à 17h aux Cinés Wellington. Animée par David Hainaut, cette conférence sera suivie du film "Lumière" de Thierry Frémaux.
- La reconstitution du repas d'inauguration du célèbre Orient-Express, le samedi 21 octobre à 20h au restaurant "La Sucrerie". Après avoir rejoué le dernier repas du Titanic l'an dernier, le WaHFF se lance dans une deuxième aventure historico-culinaire. Un prix sera remis aux convives dont les tenues représenteront le mieux celles de l'époque.
- Le gala d'ouverture, le jeudi 19 octobre à 20h30 aux Cinés Wellington. Il sera, pour la première fois, ouvert au public ! Après la cérémonie d'ouverture et la présentation du jury officiel et des invités, le film "L'échange des princesses", tourné en partie au château de la Hulpe, sera diffusé en première mondiale ! Le gala de clôture du 22 octobre, sera l'occasion de découvrir "Au revoir là-haut"
- Hommage à Anouk Aimée. Le samedi 21 octobre, une soirée hommage sera organisée aux Cinés Wellington à Waterloo en l'honneur de la comédienne Anouk Aimée. Après la projection du court-métrage "Anouk, la bien Aimée", une interview rencontre permettra d'en savoir un peu plus sur la carrière de cette actrice de renom. Un Clion d'honneur lui sera ensuite remis avant de la découvrir sur grand écran, dans le film "Lola" de Jacques Demy.
- "La Chantanne fait son cinéma", le vendredi 20 octobre à 20h à la Maison communale de Waterloo. Fondée en 1970, cette chorale mixte présentera un florilège de chansons sur le thème des musiques de film, telle que "West Side Story" de Leonard Bernstein, "Circle of Life" d'Elton John ou encore "Skyfall" d'Adèle.
- Les petits déjeuners du festival, les samedi 21 et dimanche 22 octobre à 9h aux Cinés Wellington. Les lève-tôt pourront profiter d'un copieux repas avant d'assister à la séance de leur choix.
- Des histoires contées aux enfants par Cathy Immelen, les samedi 21 et dimanche 22 octobre à 10h et 14h30 au Dernier QG de Napoléon. Des séances gratuites pour les familles, à la lisière entre théâtre et cinéma.
- Une ciné-conférence avec Philippe Reynaert, rédacteur en chef du magazine Visions et ancien Monsieur cinéma de la RTBF, le samedi 21 octobre à 17h aux Cinés Wellington. Animée par David Hainaut, cette conférence sera suivie du film "Lumière" de Thierry Frémaux.
- La reconstitution du repas d'inauguration du célèbre Orient-Express, le samedi 21 octobre à 20h au restaurant "La Sucrerie". Après avoir rejoué le dernier repas du Titanic l'an dernier, le WaHFF se lance dans une deuxième aventure historico-culinaire. Un prix sera remis aux convives dont les tenues représenteront le mieux celles de l'époque.
Le WAHFF en quelques lignes…
Pour la quatrième année consécutive, Waterloo accueille son Festival du Film Historique. Cette année, l’organisation a décidé d’internationaliser davantage l’événement en lui donnant le nom de « Waterloo Historical Film Festival », soit le WAHFF.
Les Cinémas Wellington s’apprêtent donc, dès ce jeudi 20 octobre à recevoir des milliers de festivaliers, curieux de découvrir une trentaine de films et documentaires inédits issus du monde entier. Une séance « Spécial Kids » et de nombreuses animations viendront compléter le programme de la nouvelle édition. A l’issue de ces quatre jours de projections, le gala de clôture permettra de décerner des Clions (Clio étant la muse de l’Histoire et le lion, l’emblème de la ville), au meilleur film, aux meilleurs comédiens, à la meilleure mise en scène et aux meilleurs costumes/décors. Les documentaires seront eux aussi récompensés par un jury à part entière, présidé par Corinne Boulangier.
... et en images
Quelques photos de la cérémonie d'ouverture et du jury de la compétition officielle: Marie-Christine Barrault, Eva Darlan, Gabrielle Lazure, Hande Kodja, Zineb Oukach, Gregory Gatignol, Philippe du Janerand et Hugo Harold-Harrisson ainsi que celles de la rencontre avec le réalisateur Roberto Berliner.
Les photos de la cérémonie de clôture, des lauréats, des jurys
Le Festival du Film Historique de Waterloo, tout un programme!
Le WAHFF propose huit long-métrages en compétition et parmi eux "Colonia" de Florian Gallenberger (avec Emma Watson et Daniel Brühl), projeté lors de la cérémonie d'ouverture du jeudi 20 octobre.
Le film raconte le coup d'Etat Chilien de 1973 contre Allende et l'histoire de deux jeunes allemands (Daniel et Lena) arrêtés par les milices.
Le programme complet de la 4ème édition est disponible sur: http://070.be/wahff
La palmarès :
Meilleure mise en scène, Meilleure actrice (pour la Brésilienne Gloria Pires), Prix du jury jeune et… Meilleur film : « Nise, au cœur de la folie »de Roberto Berliner est le grand gagnant de ce 4ème Festival du Film Historique de Waterloo !
« Satisfaction 1720 » n’est pas en reste car il collecte deux Clions : celui de la Critique et celui des Meilleurs costumes/décors
Enfin, « Colonia » de Florian Gallenberger est récompensé par le Clion du Meilleur acteur (pour l’impressionnant Michael Nyqvist) et le Prix du jury jeune européen.
« Satisfaction 1720 » n’est pas en reste car il collecte deux Clions : celui de la Critique et celui des Meilleurs costumes/décors
Enfin, « Colonia » de Florian Gallenberger est récompensé par le Clion du Meilleur acteur (pour l’impressionnant Michael Nyqvist) et le Prix du jury jeune européen.
Les rencontres du WaHFF
Participer au "Waterloo Historical Film Festival", c'est aussi l'occasion de faire de belles rencontres. Parmi elles, celles de Dick Tomasovic (auteur de "Shots! Alcool, cinéma!" et de Roberto Berliner, réalisateur de "Nise: Heart of madness".
Pour découvrir nos comptes rendus, cliquez ici.
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Nos avis et nos impressions:
Tous nos avis des films vus lors de cette édition sont disponibles sur notre page : WAHFF 2016