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Le seigneur des anneaux: les anneaux de pouvoir

9/15/2022

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​Résumé de la série: Commençant à une époque de paix relative, la série suit un ensemble de personnages, à la fois familiers et nouveaux, alors qu’ils affrontent la réémergence tant redoutée du mal sur la Terre du Milieu. Des profondeurs les plus sombres des Monts Brumeux, aux forêts majestueuses de la capitale Elfique de Lindon, à l’île royaume à couper le souffle de Númenor, et jusqu’aux confins les plus éloignés du monde, ces royaumes et personnages bâtiront des légendes qui continueront d’exister bien longtemps après leur mort.

Avis : Le 2 septembre dernier, Amazon Prime Vidéo lançait la série la plus chère de l’histoire ! Alors forcément, chez Ecran et Toile, nous étions curieux de découvrir la nouvelle série basée sur les appendices de la trilogie du Seigneur des Anneaux de Tolkien sublimée sur grand écran par Peter Jackson. Sauf qu’ici, nous avons la désagréable impression que le génie créatif semble être resté dans la bouteille…
En réalité les quelques lignes qui vont suivre reflètent davantage un ressenti plutôt qu’un avis tranché puisqu’au moment où vous nous lirez, nous n’aurons vu que les trois premiers épisodes.

Retour en Terre du Milieu

Visuellement beau (il ne manquerait plus que ça au vu des moyens financiers déployés), les deux premiers épisodes ont été réalisés par un spécialiste du film à ambiance : Juan Antonio Bayona

Néanmoins, le principal reproche que l’on peut formuler est le manque d’épaisseur de certains personnages (Galadriel, Elrond), qui souffrent forcément de la comparaison avec les acteurs charismatiques de la trilogie (Cate Blanchett, Hugo Weaving). Et bien que le premier épisode commence fort, le soufflé retombe assez vite, et pire, nous avons trouvé le temps long ! L’intrigue n’aide pas et nous souffrons de ce puzzle qui s’assemble timidement mais qui ne nous emporte jamais ! Alors oui c’est beau mais surtout très creux. Il manque de la profondeur à cet univers à l’allure étincelante (peut-être même trop d’ailleurs… merci le recours aux CGI)

Pourtant, les auteurs ont la possibilité d’ajouter des personnages et d’imaginer les zones d’ombre non écrites par Tolkien et… ils l’ont fait ! Mais les choix des débuts tardent à porter leur fruit. Où sont la poésie et le lyrisme insufflés par Jackson ? Ce manque nuit gravement à l’émotion ressentie et à l’implication qui était la nôtre…

Vous l’aurez compris, après trois épisodes, nous avons la fâcheuse impression d’assister à un spectacle certes grandiose mais aussi très vide scénaristiquement parlant. 
Des acteurs manquant de charisme à un cruel manque de poésie visuelle (et donc d’émotion), « Les Anneaux de Pouvoir » ne nous ont pas encore conquis… mais vous connaissez l’adage, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis !
 
Durée de la série : 1 saison de 8 épisodes d’environ 60 minutes
Genre: Fantastique
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Le samaritain

8/30/2022

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Résumé du film: Sam Cleary, âgé de 13 ans, soupçonne son mystérieux et très solitaire voisin, M. Smith d’être en fait Le Samaritain , justicier légendaire déclaré mort il y a 25 ans. Avec la montée de la criminalité et une ville au bord du chaos, Sam se donne pour mission de faire sortir son voisin de sa cachette afin qu’il empêche la ville de sombrer dans la ruine.
 
Note du film : ★★ (par François)

Avis : Après « Rambo », « Rocky » et cie, voici que l’acteur Sylvester Stallone, habitué aux films d’action classiques, s’essaie à un nouveau genre! Ce pourrait-il qu’un des héros de notre enfance soit aussi un super-héros ?

​Voici venir une sortie inhabituelle qui nous a donné envie de nous pencher sur le catalogue proposé par Amazon Prime.
 En effet, il suffit de regarder la bande annonce pour retrouver ce que l’acteur sait faire de mieux : incarner un personnage certes fatigué et usé par la vie mais qui possède en lui suffisamment de ressources pour redresser certains torts ! Et avouons-le d’entrée de jeu…Ce genre de film lui va toujours aussi bien !

Où ai-je rangé ma cape ?

Si l’histoire ne réinvente pas la roue, elle a tout de même le mérite de démarrer fort. Sylvester Stallone incarne un super-héros à la retraite menant une vie paisible. Eboueur de jour, Joe fuit les problèmes et ne se sert plus de sa force surhumaine qui le rendait jadis ultra populaire. Menant désormais un quotidien des plus rangé, il vit seul mais s’est tout de même attaché à un adolescent qui vit en face de chez lui. Et comme le quartier est loin d’être sûr, il lui arrive de sortir les muscles pour protéger le jeune homme.  

D’ailleurs, la « force » du film réside surtout dans son casting. Outre Sylvester, son jeune admirateur incarné à l’écran par Javon “Wanna” Walton (Euphoria, Umbrella Academy) est assez convaincant ! Et comme souvent, que serait un film de vengeur sans un vilain digne de ce nom ? Bien que l’acteur Pilou Asbæk (Game of Thrones) joue toujours de manière aussi hypnotique (il suffit de prêter attention à son regard de fou furieux !), on rencontre tout de même quelques difficultés à comprendre ses motivations hormis celles de tout casser, et c’est bien dommage ! Car si le genre est très convenu, le salut ne vient pas du scénario qui se veut fort manichéen. Hormis un petit twist, le gentil est…gentil et les méchants sont… Vous avez compris ! Et il est étrange de constater que la ville entière est nostalgique du seul héros du passé et de son Némésis qu’on surnommait judicieusement…le Némésis ! 

Côté réalisation, celle de Julius Avery présente une ville gangrenée par la violence et la pauvreté et le gris est la couleur dominante. Hélas, la taille de cette dernière nous a quelque peu déconcertés car à part quelques endroits (repère des méchants, appartement du héros) et quelques autres lieux qui se comptent sur les doigts de la main, nous n’avons pas vu une ville qui vivait… Il s’en dégage une impression de série B certes agréable mais prise en étau par des moyens peut-être (trop ?) limités. 

​A l’arrivée, nous avons été quelque peu déçus par les lacunes du film mais nous saluons l’orientation surprenante prise par 
Sylvester Stallone qui nous confirme sa propension à défendre la veuve et l’orphelin à la seule force de ses bras !
Date de sortie sur Amazon Prime Video : 26 août 2022
Durée du film : 1h55
Genre : Action
Titre original : Samaritan
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Eaux profondes

3/30/2022

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Résumé du film : « Eaux Profondes » de Adrian Lyne nous entraîne dans le mariage parfait de Vic et Melinda Van Allen, où nous allons découvrir que les jeux dangereux se retournent contre ceux qui y jouent.

Note du film : ★ (par Véronique)

Avis : Durant 20 ans, plus personne n’avait entendu le nom de Adrian Lyne, le réalisateur de « Infidèle », « 9 semaines ½ » ou encore le célébrissime « Flashdance » qui a marqué les années 80. Revenant à un genre qu’il affectionne beaucoup (à savoir le thriller érotique) l’octogénaire britannique se lance cette fois dans un remake de « Eaux profondes » (déjà porté à l’écran par Michel Delville en 1981 et à l’affiche duquel on retrouvait Isabelle Huppert et Jean-Louis Trintignant), un roman publié en 1957 par Patricia Highsmith dans lequel Vic et Mélinda se livrent à un jeu du chat et de la souris, sur fond d’assassinats d’amants gênants. 
De nombreuses fois portée à l’écran (« L’inconnu du Nord-Express », « Le talentueux Monsieur Ripley »), la plume de Highsmith a-t-elle inspiré Adrian Lyne ou au contraire lui a-t-elle chatouillé le nez ? A la sortie de cette vision, nous pencherons plutôt pour la seconde réponse tant cette nouvelle adaptation se veut sage, plane et particulièrement décevante.

Et pourtant, à voir son affiche, on s’attendait en effet à trouver un thriller sulfureux et tendu dans lequel Ben Affleck et Ana de Armas se donneraient le change avec force et vigueur. Si les deux comédiens ne déméritent pas et jouent la carte de la sensualité de façon plutôt convaincante, on ne peut pas dire que l’aspect érotisant de l’histoire et la tension qui en découle suffisent à faire tenir le métrage sur ses deux heures. Car après une installation bien pensée et une introduction psychologique des personnages soupesée avec malice, nous nous enfonçons dans les eaux stagnantes d’un récit qui n’emporte rien sur son passage, sinon notre lassitude et notre désintérêt pour la finalité de son histoire.

Drame marital gentillet aux quelques petits rebondissements, « Eaux profondes » ne parvient pas à susciter une quelconque émotion (à l’instar de celles du personnage de Vic van Allen, incarné par un Affleck bien lisse et dans la même veine que « Gone Girl », le génie scénaristique en moins), ne faisant chavirer les cœurs que par les œillades sulfureuses lancées par une Ana de Armas incroyablement et détestablement attirante.

​Sage et peu entreprenant, le dernier long-métrage de Adrian Lyne ne renouvelle pas le genre, ne l’enrichit pas non plus et ne fait qu’offrir un spectacle peu passionnant reposant sur l’infidélité, la jalousie et l’obsession. Un film vite vu, vite oublié qui ne méritait en effet pas un passage par la case ciné.
Date de sortie sur Amazon Prime Video : 18 mars 2022
Durée du film : 1h55
Genre : Thriller
Titre original : Deep water
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Palm Springs

6/2/2021

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Résumé du film: L'insouciant Nyles fait la connaissance lors d'un mariage à Palm Springs de Sarah, sœur de la mariée et demoiselle d'honneur. Les choses se compliquent rapidement lorsque le duo se retrouve piégé dans l’espace-temps de ce mariage, contraint de revivre sans cesse la même journée.

Note du film : ★★ (par François)

Avis : En 2020, « Palm Springs » fut présenté au festival de Sundance et a vu ses droits de diffusion acquis par la plateforme Hulu pour 17,5 millions de dollars. Cette importante transaction financière est-elle le signe de la qualité du film ?

​Les comédies romantiques utilisant la répétition d’une même journée n’est pas nouvelle. Bien sûr, on se souvient tous de la pépite d’Harold Ramis intitulée « 
Un jour sans fin » avec Bill Murray. 
Depuis, d’autres films se sont inspirés de l’idée avec plus ou moins de réussite (« Happy Birthdead », « The map of tiny perfect things », etc)  et « Palm Springs » en fait partie.

Bien que l’histoire du film se veuille minimaliste et ne cherche jamais à expliquer la raison de cette boucle temporelle, elle a le mérite de reposer sur une galerie de personnages haut en couleur qui prennent plaisir à l’écran et nous amusent par la même occasion. En tête ? Celui interprété par Andy Samberg qui est excellent ici et dont le rôle présente des similitudes avec le personnage loufoque qu’il interprète dans la série « Brooklyn Nine-Nine ».

​Drôle et désinvolte, l’acteur est parfait dans le rôle de Nyles qui se retrouve piégé dans la boucle temporelle, entrainant avec lui Cristin Milioti, la sœur de la mariée dans le film, et qui n’avait rien demandé ! Nous retrouvons également d’autres acteurs connus comme Peter Gallagher mais aussi (et surtout !) l’excellent J.K. Simmons (« Whiplash », « Spiderman ») dans le rôle de Roy. Ce personnage vraiment surprenant se retrouve, par un concours de circonstances, piégé malgré lui dans cette irrégularité temporelle, le gimmick de Roy apportant un peu d’aspérité à une intrigue finalement assez mince. Après tout, le gros du film consiste à répéter cette même journée avec ce qu’il faut de folie et la quête des deux personnages principaux pour en sortir définitivement !

Certes, nous pourrions reprocher au film de Max Barbakow, dont c’est le premier film, un petit manque de personnalité, une intrigue assez conventionnelle et quelques longueurs !  Mais ce serait peut-être oublier notre plaisir de voir à l’écran des comédiens convaincants, distillant ce qu’il faut d’humour et de légèreté pour que nous passions un agréable moment de cinéma.
 Et pour ses premiers pas au cinéma, on se dit que ce n’est finalement pas si mauvais que cela…

Date de sortie sur Amazon Prime Video : 12 février 2021
Durée du film : 1h30
Genre : Comédie (romantique)
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Film: De Oost - Des soldats et des ombres

5/12/2021

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​Résumé du film
 
: Indonésie, 1946. Johan est un jeune soldat néerlandais envoyé avec cent mille autres aux Indes néerlandaises afin de rétablir l’ordre pendant la guerre d’indépendance. Johan tombe peu à peu sous l’emprise du charismatique capitaine Westerling, surnommé le Turc. Tandis que le conflit s’intensifie et que le Turc fait peser une répression de plus en plus lourde sur la population rebelle, Johan éprouve des difficultés croissantes à distinguer le bien du mal.

Note du film : ★★★ (par Véronique)

Avis : Evoquant un pan méconnu dans l’Histoire des Pays-Bas, « De Oost » de Jim Taihuttu est un très bon traité de psychologie et un intéressant film de guerre dans lequel évolue un jeune casting concluant.
Porté par un Martijn Lakemeier d’une justesse incroyable et bluffant dans chacun de ses plans, le film nous emmène à l’Est et plus précisément en Indonésie, là où sont envoyés de jeunes soldats en quête d’aventures et enthousiastes par la démarche qui devrait être la leur.

​En effet, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, une partie de la jeunesse militaire néerlandaise embarque pour les Indes orientales, ancienne colonie occupée jusqu’il y a peu par les Japonais. Persuadés qu’ils seront accueillis en héros dans les îles et à leur retour de leur mission, nos téméraires soldats vont vite déchanter et découvrir la dureté de la vie dans les camps militaires mais aussi et surtout une réalité qui dépasse tous les entendements et va à jamais bouleverser leur existence.

SOS d'un soldat en détresse


« De oost » a pris le parti de faire des allers et venues dans la vie du jeune Johan de Vries et celle de sa troupe, nous replongeant dans les souvenirs d’une campagne qui l’a profondément marqué ou nous emmenant dans son quotidien post-traumatique qui a changé à jamais un homme altruiste en un employé dur et dénoué de toutes émotions.

C'est que, nous le constaterons par nous-mêmes, la mission pour laquelle s’était engagé le jeune Johan n’a rien d’élogieux. Celui qui, dans un premier temps, se faisait le défenseur de la population locale va peu à peu devenir un exécuteur sans pathos, une fois sous la coupe et l’emprise de Raymond Westerling (surnommé « Le turc »).
 
Vécue au plus proche de son personnage principal, cette incursion dans la campagne militaire de Johan va surtout nous permettre de comprendre comment celui-ci va arriver à son point de rupture, devenir un homme austère et un soldat renfermé. Tortures, exécutions, traumatismes vont révolutionner son monde utopique et le faire basculer du côté obscur, lui qui tentait tant bien que mal de se démarquer de ce père qui a jadis sympathisé avec l’occupant nazi.

A la fois film de guerre et thriller psychologique implacable, « De oost, des soldats et des ombres » est une mise en lumière intelligente d’une réalité que l’on découvre à travers les yeux clairs de jeunes soldats idéalistes et parfois immatures : l’ambiance au sein des campements, la perception du terrain et de la discipline imposée à de jeunes adulescents, la prostitution de jeunes filles locales mais aussi le mal du pays, les préjugés que l’on a sur une culture et sur le retour des héros, sont ainsi passés au crible dans un copieux drame de guerre dont on sort éprouvés, comme son héros principal.

La photographie sublime des décors exotiques contraste à merveille avec la noirceur des campements et des villages ravagés par l’ordre et la discipline, la soumission et les exécutions. L’alternance entre plans larges et rapprochés nous ouvrent vers d’autres horizons ou nos oppressent, c’est selon… et soutient le développement d’une paranoïa naissant dans la terreur et la barbarie et prenant toute son ampleur dans un quotidien que l’on parvient difficile à vivre tant l’empreinte du passé et de ses douloureux souvenirs écrase tout sur son passage.

Mêlant réalité et fiction, Histoire et récits personnels, « De Oost » offre une ouverture vers la réflexion et le devoir de mémoire, questionne un événement historique méconnu et se penche sur la dérive qu’entraînent certains choix moraux. 
Bref, il offre un contenu dense qui nécessite d’être digéré une fois la vision du film terminée.
 
Date de sortie sur Amazon Prime Video : 13 mai 2021
Durée du film : 2h21
Genre : Drame/Guerre
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Film: Cosmic sin

5/4/2021

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Résumé du film: Un groupe de guerriers et de scientifiques doit se battre pour protéger et sauver la race humaine menacée par une espèce extraterrestre hostile ayant la capacité d'infecter et de devenir les hôtes d'un corps humain.

Note du film : ○ (par François)

Avis : 1998 : Bruce Willis sauve l’humanité dans le mémorable film « Armageddon » de Michael Bay. 2021, il sauve de nouveau le monde dans un film qu’on s’empressera d’oublier tant celui-ci est mauvais… Bref retour sur une très belle déconvenue et sur une interrogation : que fait Bruce Willis dans cette galère?

C’est piqué par une curiosité bon enfant que nous avons lancé ce « 
Cosmic Sin ». 
Un film de science fiction avec Bruce Willis et Frank Grillo ne peut pas être déplaisant pensions-nous…Monumentale erreur que celle là ! D’ailleurs, dès les premières minutes du film, nous sentons que quelque chose cloche…et ce n’est que l’ouverture d’une longue, très longue déconvenue…

Cosmic Disaster

Rarement les trente premières minutes d’un film nous ont semblé aussi pénibles… et ce n’était que le début ! En même temps, le pitch de départ, présent à la sortie du générique n’insufflait guère l’espoir chez le spectateur attentif. Jugez plutôt : en 2042, l’Homme a acquis le moyen de voyager à des années lumière grâce à une nouvelle technologie quantique. Soit…On se dit que manifestement, tout va très vite dans cet univers là. Puis, quelques secondes plus tard, l’action du film se déroule en 2520 et l’on se dit qu’on va en prendre plein les mirettes à la façon d’un Star Trek mais que nenni ! Non seulement, les gens continuent de rouler dans des pickup japonais ou américains en mode V8 ou à utiliser des armes à feu classiques, mais en plus leurs habitations ne sont pas bien différentes des nôtres et nous ne voyons que quelques très rares traces de domotiques ! On ne peut s’empêcher de penser aux évolutions possibles de nos sociétés et on se dit que le réalisateur est déjà passé à côté d’un des essentiels scénaristiques dès les premiers moments de son film !

Une fois passé cette (très) grosse désillusion, les mauvaises surprises s’enchaînent à une vitesse cosmique : des dialogues neuneus à l’impression de décors en carton, l’incompréhension nous gagne de plus en plus. Que se passe-t-il dans la tête du réalisateur Edward Drake ? Le pire étant que le film se prend au sérieux ! Parce que les armures en aluminium et fer blanc peints à la main devant être pressurisée pour affronter le froid de l’espace, on pourrait en parler longtemps…

C’est bien simple, rien ne fonctionne correctement. Bien sûr, les deux acteurs principaux sont venus toucher leur chèque et peut-être étaient-ils contents de retravailler ensemble mais c’est à peu près tout. La réaction des personnages du film, normalement censés être des militaires, est totalement incohérente, aucun d’eux ne réagit pas devant l’hostilité des extra-terrestres… Il n’y a pas vraiment d’histoire, de construction des personnages, de ressorts psychologiques ou émotionnels…rien, nada, peau de balle !

La réalisation n’est pas non plus convaincante et l’action présente est pataude. Cela manque de tout et surtout de style ! Et nous ne parlerons même pas de la fin, qui, comme le reste est affligeante à souhait. Braves ou habités d’une rare bêtise, nous nous sommes battus intérieurement pour rester jusqu’au bout devant ce gâchis intersidéral qui ne fait pas beaucoup de bien à son spectateur.
Mais alors, vous pourriez nous demander pourquoi écrire sur le sujet si le résultat est si consternant ? C’est justement parce que ce film est honteux qu’on se devait de vous mettre en garde, fuyez-le pauvres fous !
 
Date de sortie sur Amazon Prime : 31 mars 2021
Durée du film : 1h28 (ressenti : 4h)
Genre : Science fiction
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Film: Uncle Frank

3/26/2021

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Résumé du film: En 1973, Beth, encore adolescente, quitte sa campagne natale pour aller étudier à l’Université de New York où enseigne son oncle Frank, un professeur de littérature réputé. Elle découvre rapidement qu’il est homosexuel et qu’il partage sa vie depuis longtemps avec son compagnon Wally ; une relation qu’il a toujours gardée secrète. Mais le jour où Mac, le patriarche grincheux de la famille, décède subitement, Frank est contraint de retourner auprès des siens, accompagné de Beth et Wally, afin d’assister aux funérailles. Durant le trajet, il doit confronter les fantômes de son passé et regarder sa famille en face une fois arrivé sur place.

Note du film: ★★★ (par François)
Avis : Nommé dans plusieurs catégories de la 46e édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville, « Uncle Frank » y a remporté le Prix du Public. Disponible à présent sur la plateforme Amazon Prime, l’occasion était trop belle d’organiser une session de rattrapage et autant le dire de suite, le public ne s’était pas trompé !

Avec « Uncle Frank », le réalisateur Alan Ball traite des thèmes essentiels tels que l’affirmation de soi, l’homosexualité et l’adolescence à travers le regard plein d’admiration et de tendresse d’une jeune fille pour son oncle qui a choisi de mener une vie qu’il dissimile en partie à sa famille. Cela s’explique par le fait que Frank évolue dans une famille très conservatrice aux préjugés dominants et que dans les Etats-Unis dans les années 70, il n’était pas bien vu d’être homosexuel !
 
Bien que le traitement réservé aux personnages se veuille classique dans son approche, le choix des comédiens fait que l’on se prend immédiatement de sympathie pour ceux-ci. Uncle Frank n’est autre que Paul Bettany qui troque pour l’occasion sa cape du super-héros (Vision) pour celui de ce professeur universitaire de littérature très apprécié de ses étudiants. Sa vie à New-York est rythmée par ses cours et les rencontres/échanges qu’il fait sur le campus. Amoureux des lettres dans une famille rurale dirigée par un patriarche bourru peu enclin aux discussions posées, Frank peut néanmoins compter sur Beth, sa nièce, grande amatrice de livres habitée par une personnalité singulière et vivante, une jeune fille venue s’installer à New York pour y suivre des études inattendues. L’actrice Sophia Lillis, renversante dans le rôle de cette adolescente qui voue une belle admiration envers son oncle, incarne à la perfection la fraîcheur et l’empathie, l’altruisme et la compassion.

Bien sûr, la propre famille de Frank n’a aucune connaissance de la relation que dernier entretient avec Wally, son compagnon à la fois drôle, sensible et fidèle. Une fois encore, le casting constitue la force principale du film puisque Peter MacDissi est parfait dans ce rôle solaire. L’acteur crée la surprise et insuffle une belle spontanéité à son personnage !

Mais si tout cela semble convenu et peut original, l’intrigue ne manquera pas de prendre un tournant décisif lorsque Frank apprend la mort de son père. Déboussolé à l’idée de retrouver les siens, il accepte les conseils de son compagnon et se met en route avec sa nièce Beth afin d’aller au bout d’un processus de reconstruction. C’est d’ailleurs à partir de ce moment que le rythme s’accélère et que commence alors un road trip salvateur.

Jamais les personnages ne sont sacrifiés et les acteurs insufflent une belle humanité lorsque la situation l’exige. Le réalisateur parvient sans mal à faire passer les messages de l’acceptation de soi, de la compréhension et de l’amour vrai sans jamais trop appuyer le trait. Et c’est pour toutes ces raisons que nous ne pouvons que vous recommander ce film qui fait réfléchir sur des problématiques encore bien actuelles et fait un bien fou humainement parlant.
Lumineux, intelligent et portés par de solides acteurs, « Uncle Frank » est un film qui permet une belle réflexion sur les préjugés et le regard parfois injuste que l’on peut parfois porter sur ceux qui, portés par leur seul courage, osent vivre différemment… et c’est profondément touchant !

Date de sortie sur Amazon Prime Vidéo : 25 novembre 2020
Durée du film : 1h35
Genre : Drame
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Film: The map of tiny perfect things

3/15/2021

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Résumé du film : Mark, un adolescent à l'esprit vif, vit la même journée à répétition. Son monde est bouleversé lorsqu'il rencontre la mystérieuse Margaret, elle aussi coincée dans la même boucle temporelle. Mark et Margaret forment un duo magnétique qui part à la recherche de toutes les petites choses qui pourraient rendre ce jour parfait. L’histoire d'amour prend une tournure fantastique, alors que tous deux luttent pour savoir comment - et si - ils vont échapper à ce jour sans fin.

Note du film : ★★★: (par Véronique)

Avis : Sorti quelques jours avant la Saint Valentin, « The map of the tiny perfect things » est une jolie romance fantastique originale et fraîche destinée principalement aux teenagers.
Si le film connait quelques longueurs dispensables (nous donnant par la même occasion la sensation de revivre les mêmes émotions et préoccupations adolescentes un nombre incalculable de fois), on ressort de ce long-métrage plutôt satisfait de l’expérience proposée par Ian Samuels. Clairement inspiré du film « Un jour sans fin » (les personnages l’évoquent eux-mêmes à de nombreuses reprises), « The map of tiny perfect things » parvient à ancrer la notion de boucle temporelle dans le monde presque naïf dans l’adolescence où les bouleversements amicaux, familiaux et amoureux se bousculent dans la tête comme dans cette vie mise à l’arrêt… Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça marche.

Résolument positif et lumineux, « The map of tiny perfect things » innove dans un sujet maintes fois exploité au cinéma en apportant une complémentarité dans le vécu extraordinaire de ses jeunes héros. Car cette fois, ce n’est pas un mais deux sujets qui tentent de comprendre la raison qui les poussent à recommencer cette journée indéfiniment, l’un trouvant cela plutôt grisant, l’autre le subissant. Devenus complices par la force des choses, Mark et Margaret vont peu à peu déjouer le tour que leur joue la quatrième dimension et mettent tout en œuvre pour sortir dans ce rêve éveillé grandi et déjouer les plans de leur étrange destinée.

Pour porter cette romcom pour teenagers, on peut compter sur l’attachant couple formé par Kathryn Newton (Margaret) et Kyle Allen (Mark), deux jeunes acteurs montants qui, à ne pas en douter, gagneront le cœur des jeunes spectateurs.  Bloqués tous les deux dans une journée estivale tantôt positive, tantôt lassante, nos deux jeunes héros vont apprendre à dompter les caprices du temps, à trouver un peu de positif dans cet inlassable recommencement et à apprécier les cadeaux du quotidien que l’on ne voit peut-être plus par manque d’intérêts pour l’environnement et les gens qui nous entoure. 
C’est relativement simple et efficace, ça s’inscrit sans difficulté dans la lignée des films « good vibes » tels que « This is not a love story », « Nos étoiles contraires » et ça, mine de rien, en ces temps gris et égocentrés, cela fait plutôt du bien !
 
Date de sortie sur Amazon Prime Vidéo : 12 février 2021
Durée du film : 1h39
Genre : Comédie romantique / fantastique
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Film: "Un prince à New York 2"

3/6/2021

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Résumé du film : Dans le luxuriant et pays royal du Zamunda, le nouveau roi Akeem et son fidèle confident Semmi se lancent dans une toute nouvelle aventure comique à travers le monde, en partant de leur grande nation africaine jusqu’au quartier du Queens, à New York - où tout a commencé.

Note du film : ★ (par François)

Avis : En tant que grand amateur des films d’Eddie Murphy des années 90, nous n’aurions jamais cru à la suite d’un Prince à New-York. Tout d’abord, parce que la fin ne laissait pas forcément suggérer une suite potentielle. Ensuite, parce que beaucoup d’eau a coulé sous les ponts et bien que nous vivions une période riche de remakes et d’adaptations de qualité (vous avez dit Cobra Kai ?), certaines franchises se prêtent mieux – en tout cas sur le papier- à l’exercice de style (« Le Flic de Berverly Hills » ?)
Et puis, la bande annonce de ce « Coming 2 America » a été diffusée avec ses belles promesses et une belle vague de nostalgie nous a submergé !  Mais souvent, il est bon de laisser le passé derrière nous et Craig Brewer le réalisateur du film aurait dû le savoir mieux que quiconque. Retour sur une déception à la hauteur de nos espérances…

Pas Sexy le Chocolat !

Pourtant, les premiers instants du film sont extrêmement réjouissants puisque nous revoyons certains protagonistes du premier film et la magie opère en plein ! Oui mais voilà, très vite, le film repart sur une base paresseuse et l’illusion se brise pour ne revenir que très ponctuellement, dès qu’une référence au premier film est montrée à l’écran !

Pour le reste, nous avons droit à pas mal de vulgarité (le personnage incarné par Leslie Jones est INSUPPORTABLE) et de nombreux effets faciles font lever les yeux au ciel tant le résultat se montre affligeant. Et comme si cela ne suffisait pas, la dimension de la comédie musicale s’invite trop souvent à la fête pour retenir prisonnier le spectateur qui demandait juste un voyage nostalgique réussit.

Hélas, l’histoire est extrêmement classique et n’apportera aucune surprise. Dans cette intrigue, le roi Akeem (toujours incarné par l’excentrique Eddie Murphy) apprend qu’il est le père d’un fils aux Etats-Unis. Et c’est ce même fils joué par Jermaine Fowler qui pourrait apporter la stabilité politique au Zamunda. Car oui, une loi ancestrale prévoit que le trône ne peut être remis qu’à un descendant mâle. Et bien évidemment, le roi Akeem n’a que des filles. Comme si cela ne suffisait pas, le pays belliqueux voisin qui convoite le Zamunda est entre les mains du général Izzi (Wesley Snipes qui volerait presque la vedette à Eddie Murphy)... Les ennuis s’annoncent mais une solution semble toute trouvée : direction les USA !
 
Rien d’original donc et même si tout le monde ou presque est présent pour reprendre son vieux rôle, la mayonnaise a du mal à prendre et le film ne réussit jamais véritablement son envol.

Comme énoncé plus haut, la faute est à aller chercher du côté du scénario rachitique mais pas seulement. La principale raison a été de vouloir moderniser un récit qui semble, aujourd’hui plus que hier, daté et surtout de mauvais goût. De nombreux personnages et situations agacent au lieu de faire rire, la finesse de l’original a disparu au profit d’une balourdise souvent écœurante. Avant, au moins, on y croyait un peu et aucun personnage n’était exaspérant !

Outre la vaguelette féministe trop grossière pour vraiment convaincre, le film tente de dénoncer le sexisme mais, paradoxalement, en use et en abuse de manière outrancière ! Jamais nous ne rions des propositions émises si ce n’est lorsque les anciens personnages reviennent pour un caméo mélancolique ! D’ailleurs, la seule force du film est à aller chercher du côté du casting (Arsenio Hall, Shari Headley, James Earl Jones, John Amos) qui, bien que ne se foulant pas, parvient sans mal à enthousiasmer les fans de la première heure en jouant habilement sur la corde de la nostalgie…  
Mais cela ne peut faire un film réussi et nous avons la désagréable impression que le film parait…moins novateur que le premier volet sorti en 1988 ! Vous voilà prévenus !

Date de sortie sur Amazon Prime : 5 mars 2021
Durée du film : 1h50
Genre : Comédie
Titre original : Coming 2 America
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Film: connectés

11/24/2020

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​Résumé du film : Un soir de confinement, un groupe d’amis inséparables se réunit autour d’un apéro virtuel pour passer un bon moment. Soudain, l’un d’entre eux se fait kidnapper en direct devant les autres par un homme mystérieux. Cet événement va faire exploser tous leurs petits secrets
 
Avis : Fausse bonne idée financée par on ne sait pas quel coup de baguette magique, « Connectés » est le film de potes, entre potes qui devrait le rester. Surfant sur la vague du confinement, évoquant dans ses premières minutes les conséquences d’une période où l’enfermement social peut révéler une part sombre de certains d’entre nous, le métrage de Romuald Boulanger n’a rien de convaincant : son casting joue faux, sa mise en scène est peu recherchée, son intrigue hyper conventionnelle (et se rapprocherait même du plagiat d’un film d’horreur américain)… bref, « Connectés » ne nous donne qu’une seule envie, celle de cliquer sur la petite croix de notre navigateur et nous lancer dans apéro virtuel, un vrai, en compagnie de nos amis éloignés.
Grosse farce bien grasse et indigeste, « Connectés » a le pouvoir impressionnant de rallonger le temps au point de nous faire vérifier, à de très nombreuses reprises le temps, restant avant de libérer les spectateurs de ce fléau visuel. Il faut dire que le premier long-métrage (qui a osé souffler et le dernier ?) de Romuald Boulanger n’a rien de bien original. Sorte de remake français du très moyen « Unfriended » (c’est dire !) en mode apero virtuel malaisant avec un casting beaucoup moins bon que les ados du film d’horreur américain, le métrage n’a vraiment aucun argument pour justifier son échec cuisant (voire brûlant). Navet français énervant au final on ne peut plus évident, « Connectés » est plat, sans saveur, sans surprise, bref, sans intérêt.
 
Film « à suspense » avec de gros, gros guillemets dans lequel prennent place quelques acteurs français (et belge, coucou Stéphane De Groodt !) tels que Nadia Farès, François-Xavier Demaison, Vanessa Guide, Michaël Youn, Audrey Fleurot ou encore Claudia Tagbo (Frank Dubosc lui, ne vient faire qu’un caméo), le film sorti sur Amazon Prime Video (pour le coup, on remercie la pandémie de ne pas lui avoir accordé une sortie en salle) est loin des comédies potaches dans lesquelles on s’est habitué à voir tout ce petit monde. Mais il tout aussi éloigné des belles idées que cette période troublée aurait pu développer. Vide et totalement dispensable, « Connectés » reçoit un gros carton rouge et renvoie tout le monde sur le banc de touche sans discuter ! Les dialogues sont affligeants, les situations sont fake et mal interprétées, la redondance du procédé contreproductive et c’est sans parler de l’absence totale de spontanéité de nos « invités »…  
Vous avez du temps à perdre ? Filez prendre un verre et un gros bol de cacahuètes, appelez vos potes ou pavanez-vous sous un plaid mais de grâce, épargnez-vous cette torture télévisuelle.
 
Date de sortie sur Amazon Prime : 12 novembre 2020
Durée du film : 1h25
Genre :  Suspense
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